Solemny Swear
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -45%
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre ...
Voir le deal
339 €

Partagez | 
 

 Le silence pour seul complice {Pv Virgil}

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Hi It'sBerlioz Lothringen


Berlioz Lothringen

▌ Rang : Trompeuse sagesse
▌Swears : 336
▌Age : 35
Localisation : Au pays des rêves

Feuille de personnage
▌Notes
:
▌un petit mot
:
▌Relation
:


Le silence pour seul complice {Pv Virgil} Vide
MessageSujet: Le silence pour seul complice {Pv Virgil}   Le silence pour seul complice {Pv Virgil} EmptyDim 17 Jan - 0:22

    Berlioz ne savait pas vraiment comment elle s'était retrouvée dans cette salle emplie de miroir. Elle détestait voir son reflet mais ici il n'y avait rien de mieux à faire. Elle serait bien repartie de là où elle venait si elle ne fuyait pas quelque chose ou plutôt quelqu'un. Elle ne pouvait plus supporter ces stupides Gryffondors. Encore une fois, il l'avait ennuyé et elle n'avait rien su leur répondre. Elle avait donc décidé de se cacher ici quelques instants, en profitant pour récupérer son calme. Inspiré, expiré, inspiré, expiré, inspiré, expiré, inspiré, expiré,... Elle marchait entre les miroirs et remarqua dans un coin un vieux divan délabré qui devait être là depuis des lustres. Elle s'y laissa tomber, faisant voler une montagne de poussière. Elle trouvait que cette salle était délaissée, abandonnée car elle ne semblait pas être entretenue très souvent. En même temps, c'était peut-être cela qui faisait son charme. Elle promena son regard au dehors à travers la fenêtre. Tout était gris, sombre, froid mais au fond, rien d'étonnant à cela, l'hiver avait pointé le bout de son nez depuis un moment. Elle soupira et profita du calme. Elle ferma les yeux, sa tête posée sur l'accoudoir du divan.

    Certes, elle ne dormait pas mais le sommeil n'était pas loin pour autant. Si on lui avait posé la question maintenant, elle aurait répondu avec humour : "Je ne dors pas, je repose mes yeux..." mais elle était seule dans la pièce. Elle avait des travaux à faire pour les cours mais étrangement, cela ne lui semblait pas prioritaire. Même les potions et les mauvais coups à préparer lui semblaient secondaires en ce moment. Elle voulait pour une fois avoir un instant juste pour elle, pour se retrouver, pour se ressourcer. Cela ne voulait pas dire qu'elle refuserait la compagnie de la personne qui viendrait dans cette pièce. En même temps, qui pointerait le bout de son nez ici? Certainement pas une des rares personnes qu'elle appréciait, dommage! Elle décida de ne plus penser à rien et écouta le silence, doux, calme et reposant. Elle était tellement perdue dans ses "rêveries" qu'elle n'aurait pas entendu la moindre personne s'approcher. Certes, n'importer qui aurait pu venir lui jouer un sale coup mais de cela, elle s'en fouttait là tout de suite... Elle aurait bien aimé un câlin en fait mais bon ne rêvons pas trop!
Revenir en haut Aller en bas
Hi It'sInvité

Invité
Anonymous



Le silence pour seul complice {Pv Virgil} Vide
MessageSujet: Re: Le silence pour seul complice {Pv Virgil}   Le silence pour seul complice {Pv Virgil} EmptyLun 18 Jan - 22:50

    Encore, encore… encore et toujours il fallait tenir ! A quand l’espoir d’être enfin seul et de pouvoir se retrouver avec mère solitude dans les bras de Morphée ?! Oh doux sentiment d’abandon à la simplicité de l’extase donnant sentiment de satisfaction comme l’être cherche éperdument à assouvir. Tel un loup qui recherche sa pitance pour satisfaire sa faim bestiale, animale et… sauvage. Là n’était pas les mots que l’on utilisait généralement pour un être humain mais… un vampire, assoiffé de sa nécessité sanguine quotidienne… un vampire refoulé, qui se refuse de boire une quelconque goutte de sang, n’est-il point là un dangereux spécimen ?

    Phase désespérante de la vie, Virgil avait envie et besoin de sang. En plus, il avait vu Night il y avait peu, donc si on suit bien la suite des choses… il avait veillé toute la nuit à cause de cette crétine d’Ombrage, ce qui faisait déjà qu’il était un peu mal en point. Ensuite, ses cours c’étaient l’horreur parce qu’il avait trop faim (sanguin) pour réellement pouvoir bien se concentrer et en plus, il avait du s’occuper de sa petite sœur dans cette état ! Bien sur, Night, il s’en était bien occupé mais… Virgil n’avait pas été aussi bien dans sa forme aujourd’hui qu’à son habitude ! Et là, ça ne lui plaisait pas.

    Cours finis. Encore heureux ! Il n’en pouvait vraiment plus le pauvre vampire assoiffé ! Aussi, il se dit qu’il allait se rendre à sa salle commune pour aller se reposer jusqu’à ce qu’il entende un serpentard demander à d’autres s’ils n’avaient pas vu le préfet des verts… quel question ! Ca servait à quoi franchement ?! Hein ? Ben… le préfet n’eut pas à se montrer ou demander que la suite se fit savoir ; Ombrage le cherchait pour… de nouvelles règles à mettre en application ?!

    Devinez ce que ces abrutis de verts ont trouvé de mieux à répondre ?! Que pour trouver le mystère des serpentard il fallait aller soit à la Bibliothèque soit dans sa maison commune ou au lac ! Trop bien ! Lâchez le en pâture le pauvre Virgil pendant que vous y êtes non ?! Bon changement de plan… trouver un endroit où il n’y avait personne et de préférence… où Virgil pourrait trouver un peu d’eau à changer en sang. Sinon carnage en perspective ! Attention vos nuques si gouteuse, il y avait là un vampire qui voulait y passer ses crocs à chaque coin de murs. (Même si cela ne se voyait pas, heureusement que le self contrôle existait non ?)

    Droite, gauche, monter, tourner, encore à gauche tout droit monter, escalier porte on passe rapidement ! Plusieurs fois Virgil faillit rencontrer des gens, il était impératif de ne pas se faire avoir aussi, prudent, le sombre vampire ne faisait pas de bruit et se déplaçait le plus furtivement possible. Tel l’amant qui venait se glisser dans le lit de sa douce pour une tendre et sensuelle dernière nuit avant l’exécution du rituel les séparant pour l’éternité l’un de l’autre avec une tierce autre personne : le mariage.

    Laissons cela ici, ce n’était point le problème. Virgil était donc entré discrètement, mais où ? Se tournant et passant son regard sur les lieux, le ténébreux serpentard ne vit que… des miroirs. La salle du Rised, voilà l’endroit parfait pour Virgil en ce moment même. Il ne pouvait pas rêver mieux que ça si ? Et bien non, c’était là même la perfection, si on ne comptait pas la salle sur demande. Un petit bonheur du moment pour donner une impression d’apaisement, il avait toujours faim ; même encore plus qu’avant.

    Aussi, Virgil avança un peu et… il vit ce qu’il n’aurait jamais du voir. Son rythme s’accéléra, ses poumons se gonflaient et dégonflaient à une allure incroyable, il n’y avait qu’une raison pour cela, la voir. Virgil ne comprenait pas, il n’avait jamais comprit d’ailleurs, pourquoi cette attirance avec cette fille qu’il ne connaissait pas ? Cette nuque… elle l’appelait, sa petite voix qui disait son prénom… Virgil détourna son regard, il n’en pouvait déjà plus. Une telle créature… si… appétissante que plaisante. La voir était bien trop à ses goûts pour rester le regard dans ce vide !

    S’approchant doucement de sa fleur, il se posa vert elle, à même le divan. Virgil ne portait pas sa cravate et son petit gilet sans manque, au diable cette partie de la tenue ! Il ne pensait qu’à une chose, regoûter à ce sang si frais et si plaisant qui faisait vivre et bouillir tout son corps, toute son âme. Virgil passa son bras droit sous la tête de Berlioz, il fit cela avec douceur. Ensuite, sa main gauche resta sur le visage de la miss un instant avant de descendre délicatement sur la hanche de sa proie, de sa douce nymphe endormie.

    La langue, se promenant sur le coup de la jeune fille s’arrêta un peu avant de laisser des paroles de faire entendre :


    « Il n’est pas bon de s’endormir ainsi n’importe où Berlioz, il pourrait t’arriver n’importe quoi. »

    Puis, sa tête descendit et alla vers la poitrine de la jeune femme, il y déposa un baiser avant de se redresser pour regarder celle qui, tôt ou tard finir d’une certaine manière dans son sang.
Revenir en haut Aller en bas
Hi It'sBerlioz Lothringen


Berlioz Lothringen

▌ Rang : Trompeuse sagesse
▌Swears : 336
▌Age : 35
Localisation : Au pays des rêves

Feuille de personnage
▌Notes
:
▌un petit mot
:
▌Relation
:


Le silence pour seul complice {Pv Virgil} Vide
MessageSujet: Re: Le silence pour seul complice {Pv Virgil}   Le silence pour seul complice {Pv Virgil} EmptyMar 19 Jan - 15:53

    A force de rester les yeux clos, Berlioz en arriva à s'endormir. Rien de surprenant lorsque l'on passe ses nuits à traîner hors de son lit, cherchant quel mauvais coup inventé. Quoiqu'il en soit, Berlioz venait de perdre une bataille et sans doute contre sa pire ennemie à savoir la fatigue. Ne croyez pas cependant que vous pourriez faire tout et n'importe du corps de la demoiselle dans son sommeil. Oh ça non, même profondément endormie, un rien comme un bruit de pas, un craquement de bois ou que sais-je encore pouvait la réveiller illico presto.

    Elle n'aimait pas vraiment dormir car la plupart du temps, elle se réveillait en sursaut à cause soit d'un cauchemar plutôt désagréable, soit d'un rêve trop guilleret à son goût pour ne pas l'inquiéter. Vous imaginez Berlioz, cette fille à l'air grave en permanence, que certains vont même jusqu'à comparer à un fantôme avoir des pensées mielleuses comme toutes les autres jeunes filles de son âge. Non ou alors c'est qu'on ne parle pas de la même personne. Pourtant, dans le plus grand secret, la maraudeuse potioniste rêvait du grand amour, pas forcément le grand amour en fait, juste un jeune homme qui mettrait son corps en émoi et ces derniers temps, elle avait été gâtée à ce niveau là.

    Bref, Berlioz, au-delà des apparences, étaient une femme en devenir un peu comme toutes les autres sauf sa grande réserve évidemment. Quoiqu'il en soit, pour une fois, elle trouva que le sommeil avait du bon car son esprit était vide. Pas une pensée, pas un projet, pas une crainte ne traversait son jeune esprit. Non rien, c'était le néant total et cela lui faisait un bien fou. Elle se sentait libre, libre de planer sans avoir pris aucunes substances illicites bien entendu.

    Elle se sentait d'un calme étrange comme s'il n'y avait jamais eu le moindre souci dans son existence. Elle ne pensait même pas à cette sorcière d'Ombrage. Elle ne manigançait pas une potion à mettre dans sa nourriture afin de jouer un mauvais tour à cette peste d'Auristelle. C'est comme si cette dernière n'avait jamais existé et ne pouvait l'atteindre, comme si elle ne se plaisait pas à la persécuter notamment en la comparant à Sadoko de "The Ring".

    Les traits décontractés et sans doute le visage aux lèvres, Berlioz était ainsi assoupie sur ce vieux divan délabré de la salle du Riséd. Cela aurait sans doute semblé étrange à toute personne la voyant ainsi. Mais ne même temps, quelle était la probabilité pour que quiconque entre ici et n'ait envie de lui faire du mal, probablement aucune chance. Elle sentit cependant un petit doute poindre en elle. Le temps de l'insouciance était déjà passé, malheureusement. Elle commençait à hésiter quant au fait de rester là les yeux fermés sans défense. Déjà, elle se sentait sortir de cette torpeur, prête à s'éveiller à tout instant.

    La crainte avait toujours eu facile à prendre possession de son corps, de son âme mais cette fois-ci, elle se fit violence et décida de ne pas se laisser gagner par elle. Elle sentit son corps s'apaiser progressivement et fut surprise par son propre self control. Elle était fière d'elle et cela était une grande première pour la Serdaigle car lutter contre soi-même n'était décidément pas son fort. Elle y parvint cependant et se rendormit comme si de rien n'était.

    Elle entendit un vague bruit de pas mais vraiment lointain et aussitôt que l'idée traversait son esprit, elle en ressortit. Aussi Berlioz n'entendit pas, ne sentit pas quelqu'un s'approcher d'elle. Elle réalisa qu'elle n'était plus seule dans la pièce lorsqu'elle sentit une présence près d'elle. Aucune hostilité à son égard donc elle n'avait aucune inquiétude à se faire. Elle se posait mille questions sur l'identité de l'intrus, cette personne qui était entré dans son antre. Si la personne était à sa convenance, elle ne refuserait pas sa présence mais par contre si c'était un trouble fête, il verrait de quel bois elle se chauffe.

    Elle sentit alors une main se glisser délicatement le long de son cou, derrière sa tête. Tandis que l'autre main de son inconnu se posait sur sa joue. Elle aurait reconnu la texture de cette peau entre milles et choisit de continuer à faire l'endormie. La main de son petit vampire descendit alors le long de son corps pour aller se nicher au creux de ses reins. Elle devait lutter pour résister, pour ne pas céder à la tentation d'humer l'odeur du jeune homme en nichant sa tête dans son cou.

    Résister, résister, résister,... Berlioz se répétait ces mots inlassablement dans sa tête. Mais la langue du jeune homme glissant dans son coup rendait son supplice insoutenable. Elle allait craquer lorsqu'il lui que ce n'était pas prudent d'ainsi dormir, sans défense. Un sourire étira ses lèvres. Elle se sentit frissonner lorsqu'il posa un délicat baiser sur sa poitrine mais ne dit toujours rien. Au bout de quelques secondes, qui lui parurent une éternité tant la tentation était puissante, elle ouvrit les yeux et regarda son bourreau droit dans les yeux. Elle lui sourit et dit d'une voix faussement innocente :


    -Que pourrait-il donc m'arriver? Me faire mordre par un doux vampire? Cela relèverait plutôt du plaisir, non?

    Elle ponctua sa phrase d'un délicat baiser prolongé dans le cou du vampire. Les dés étaient jetés et elle savait que leur sang se mélangerait bientôt en une valse terrifiante, unis pour l'éternité tels deux amants. Ceci n'est que du figuré et en aucun cas, la demoiselle n'a l'intention de s'attacher à un homme et encore moins pour l'éternité.
Revenir en haut Aller en bas
Hi It'sInvité

Invité
Anonymous



Le silence pour seul complice {Pv Virgil} Vide
MessageSujet: Re: Le silence pour seul complice {Pv Virgil}   Le silence pour seul complice {Pv Virgil} EmptyMar 19 Jan - 23:21

    L’espoir d’assouvir sa soif de sang ou un quelconque autre besoin était toujours très important quand on arrivait à ce moment là précis où… notre rêve du moment allait devenir réalité ! C’était un doux sentiment néanmoins… il y avait toujours des personnes pour se torturer et se refuser ce bonheur, ce qui les faits brûler de l’intérieur, une brûlure de désir et d’insatisfaction, un désir qui ne fait que grandir et qui ne peut se braser complètement que lorsqu’il est pleinement consumé. Cela est la triste vérité de l’attache charnelle et personnelle d’une personne à une chose, d’un être à un autre.

    Virgil sentait que son sang bouillait comme rarement, il était en manque, il avait envie, besoin… nécessité. Ce sang qui l’appelait, cette chaire qui s’ouvrait, tout lui disait de venir et de se servir, ô mon doux messire, venez prendre ce dont vous avez besoin et soyez rasassiez de votre soif si vampirique que mon corps vous est alors laissez, abandonné, et tout simplement… offert par pur plaisir. Voilà qui aurait put résumer une partie de la chose mais… Virgil lui, n’était pas tout à fait de cet avis, hélas pour lui, il était de nature à ne rien faire pour permettre aux choses de s’améliorer.

    Oui, vampire malgré lui, non comprit de par beaucoup de ses réflexions personnelles, il était un suceur de sang refoulé, comment alors accepter de boire aussi facilement le sang… d’une jeune femme comme celle qui était devant lui, dans ses bras, en train de s’abandonné à lui en quelques sortes… une femme dont Virgil aurait volontiers caresser le corps pour le reste de la journée et ça… sans même savoir pourquoi. Ce toucher charnel qu’il y avait entre les deux personnages… rien ni personne ne pouvait l’expliquer, en donner les raisons exactes.

    Virgil se retenait mais lorsqu’elle… sa tête, contre lui, encore plus l’un contre l’autre, il n’en pouvait plus, il n’y avait plus rien à faire pour essayer de se retenir ! Si, penser à lui, penser à ça, se dire qu’au final, il ferait mieux d’arrêter sa vie à ce moment précis pour que cette torture cesse. Mais pas la peine d’espérer, ce n’était en réalité que le début, jamais cet homme ne laisserait cela passer. La vie de Virgil lui était bien trop précieuse. Ô mère traitresse… n’as-tu donc personne d’autre à torturer ainsi ? Laisses donc le pauvre Virgil tranquille.

    Berlioz répondit à Virgil, ces mots qui sonnaient si doux en enchanteur… ensorcelant aux oreilles du vampire. Doux vampire ? Il n’était donc pas si brutal qu’il l’avait imaginé ? Selon le serpentard, se faire mordre par un vampire était une véritable torture ! Son expérience en avait été la cause de cette déduction, jamais il n’avait imaginé qu’un jour… on lui dise cela. De plaisir… quels mots des blessants et en même temps… attirants ! Virgil ne pensait alors plus qu’à mordre celle qui était là, dans ses bras, partageant alors ce moment unique avec elle.

    Il prit le visage de Berlioz dans ses mains, il approcha son visage, fit que leurs nez se pointe et lui susurra, lèvres frôlant lèvres féminines, si proches que l’on aurait put dire qu’ils allaient s’embrasser, si proches que leurs souffles se partageaient… telle un couple dans un lieu clos partageant un secret si excitant et puissant qu’il était primordiale de se mettre le plus en lieu sûr possible ;


    « Il n’est pas bon de me pousser à bout aujourd’hui Berlioz… tu sais que je n’aime pas mordre… cette saleté d’Omrage… c’est elle que je devrais mordre… jusqu’à ce qu’elle en crève… laisses moi encore un peu de temps… encore un peu avant. »

    Il était sûr qu’il allait la mordre, il était trop en manque de sang pour oser espérer ne pas le faire… son corps criait famine, son âme hurlait tellement elle voulait sentir pouvoir ôter la vie ! Pourtant… Virgil ne tuerait pas la petite serdaigle oh non, il ne pouvait tout simplement pas. C’était trop… impossible naturellement, il était… comme subjugué lorsqu’il était seul avec elle, son sang se mettait toujours à bouillir, presque devenant comme le feu d’un volcan, près à exploser à tout instant.

    Les lèvres de Virgil avaient finis de caresser celles de son interlocutrice qu’il retourna baiser le coup de la demoiselle… pendant que sa main droite vint défaire un peu la jeune femme de bouton sur son chemisier qui étaient de trop. Elle n’en avait pas besoin selon lui. Le chemisier ouvert, les lèvres baladeuses du vampire revinrent en ce lieu magique pour s’y poser et déposer délicatement ses doux baiser de vampire qui mettait sans doute le sang de la jeune femme… à température. Oui, il le faisait délicatement, de la même manière que sa main droite alla aussi sur les hanches de la miss.

    Il y était bien, il ne disait plus rien, son contentant de passer du coup aux seins de la jeune femme… toujours avec délicatesse bien connue des gentlemans.
Revenir en haut Aller en bas
Hi It'sBerlioz Lothringen


Berlioz Lothringen

▌ Rang : Trompeuse sagesse
▌Swears : 336
▌Age : 35
Localisation : Au pays des rêves

Feuille de personnage
▌Notes
:
▌un petit mot
:
▌Relation
:


Le silence pour seul complice {Pv Virgil} Vide
MessageSujet: Re: Le silence pour seul complice {Pv Virgil}   Le silence pour seul complice {Pv Virgil} EmptyMer 20 Jan - 20:35

    La proximité de leur corps faisait naître en Berlioz une étrange sensation. Elle sentait une certaine agitation dans son être, et cela était loin d'être désagréable, loin de là bien au contraire. Elle sentait son corps se consumer à l'idée de donner de son sang à cet être si particulier. Elle ne ressentait aucune peur, même au contraire une certaine dose d'excitation, à l'idée de se faire mordre par ce doux vampire auquel elle s'était attachée avec le temps. Il fallait dire que ce n'était pas la première fois, loin de là, qu'ils se retrouvaient aussi proches l'un de l'autre, que leur corps se touchaient en une douce volupté.

    Elle se souvint de leur rencontre, surprenante. Elle courait dans les couloirs non pas vers quelque chose, ne volant pas vers un rendez-vous important ou galant auquel elle aurait été en retard. Non elle fuyait cette sorcière d'Ombrage n'osant même pas se retourner et se dirigeant instinctivement vers un des endroits isolés du château où jamais cette garce ne viendrait la chercher. Ses cheveux volant devant ses yeux, elle ne le vit pas et se rendit compte trop tard de l'obstacle se trouvant devant elle. Elle s'en "tait aperçue lorsqu'elle s'était retrouvée le cul par terre l'ayant percuté.

    Une main qui se tend, des excuses et un début de conversation, un point commun à savoir leur haine pour cette satanée Ombrage. Sans qu'elle s'en soit vraiment rendue compte, sans qu'elle ait vraiment compris comment, une étrange relation s'était instaurée entre eux. Il en avait fait son casse-croute, la cajolant juste après. Depuis, dès qu'ils étaient seuls dans un lieu isolé, le même schéma se reproduisait. Elle n'en éprouvait aucun regret, bien au contraire car elle était une boulimique de ses câlins.


    Se souvenir était doux mais le présent l'était encore plus. Elle ne se reconnaissait plus. Se laisser enivrer de cette manière ne lui était jamais arrivé auparavant. En effet, elle avait toujours fui les autres, craignant les blessures qu'ils pourraient infliger plus à son âme qu'à son corps. Elle n'avait jamais pu laisser les gens la toucher tant au propre qu'au figuré mais avec Virgil, elle y prenait un doux plaisir. Elle aurait vendu son âme au diable pour préserver leur lien tel quel. Rien d'amoureux, rien de charnel à cela, juste une tendance à se faire des câlins mutuellement.

    Elle aimait leur relation et elle aimait bien Virgil. Ils n'étaient ni amants, ni amoureux et cela la satisfait pleinement. Pour l'instant, il était tout ce qu'elle recherchait. Elle soupira tellement elle se sentait bien en l'instant présent. Elle se sentait détendue, sa solitude ne lui pesant plus pour un petit moment au moins. Elle savait que la soif de Virgil se révélait parfois presque incontrôlable, le faisant souffrir. Il détestait boire du sang, craignant tellement de faire mal à sa malheureuse victime. Elle ne savait pas ce qu'avait été sa transformation, jamais il ne lui en parlait et jamais elle ne lui posait de question.

    Virgil était pourtant d'une terrible douceur et même si le fait de sentir ses dents s'enfoncer dans son cou lui faisait à chaque un pincement, elle le supportait facilement. Elle savait ce à quoi elle s'attendait et la douleur semblait alors amoindrie.

    Elle recentra son attention sur le jeune homme. Elle savait que ses mots avaient résonnés en Virgil qui semblait également être un doux penseur. Il approcha son visage du sien et elle sourit. Leur nez se touchait délicatement en un geste d'une douceur extrême. Elle pouvait sentir les lèvres du préfet effleurer les siennes. Leurs souffles se mêlaient en une danse effrénée comme ceux pouvant unir un couple au rythme d'une danse entre deux êtres mais entre deux corps qui se cherchent, se trouvent et s'éloignent.

    Elle l'écouta lui dire qu'elle devrait savoir qu'il n'aimait pas mordre. Oui elle le savait mais elle se disait que si un jour il se culpabilisait de trop, elle pourrait lui dire qu'elle l'avait cherché, voulu. Elle ne voulait pas prendre le risque qu'il se culpabilise, qu'il s'en veuille ou même qu'il pense à vouloir mettre fin à sa vie éternelle. Elle savait qu'il ne voulait pas prendre la vie, ne pas faire du mal aux autres. Elle réalisa alors qu'il avait dit Ombrage. Quel ennui avait-elle encore pu attirer à son petit vampire? Elle n'aimait pas lui entendre dire de si dures paroles. Elle allait répondre lorsqu'elle se laissa distraire.

    Les lèvres de son distributeur à câlin étaient revenues se poser dans son cou pour y papillonner. Il défit les boutons de son chemisier et elle sentit un frisson la parcourir. Les lèvres du jeune homme voletant de son cou à sa poitrine ainsi qu'une main caressant sa hanche, elle se sentit s'envoler. Son corps lui semblait brûlant, son sang, chaud, excité battait violemment à ses tempes. Pour se donner une contenance, elle lui murmura à l'oreille :


    -Je sais que tu n'aimes pas mordre mais tu devrais savoir qu'avec moi, ce n'est pas pareil... Qu'a donc encore pu te faire cette sorcière d'Ombrage pour que tu souhaites ainsi sa mort... et aussi mêler ton sang au sien?

    Elle finit sa phrase en allant poser un baiser dans son cou puis remonta vers son menton. Toujours plus haut, ses lèvres effleurèrent le coin de la bouche de son secret puis remonta vers son nez avant de refaire le chemin inverse. Elle fit glisser ses mains sur sa peau fraîche, fascinée par son corps divin. Elle passa une de ses mains dans ses cheveux et lui dit à voix haute et sensuelle cette fois :

    -Tu as tout ton temps... Tu sais bien que jamais je ne te brusquerai...

    Elle ferma les yeux, se laissant enivrer par l'odeur qui émanait de lui. Elle se sentait bien, apaisée et étrangement relax.


Dernière édition par Berlioz Lothringen le Ven 29 Jan - 19:25, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Hi It'sInvité

Invité
Anonymous



Le silence pour seul complice {Pv Virgil} Vide
MessageSujet: Re: Le silence pour seul complice {Pv Virgil}   Le silence pour seul complice {Pv Virgil} EmptyMar 26 Jan - 0:40

    Sentiment ? Oui et non. Amour ? Absolument pas. Il n’y avait pas de cette chose en lui, ni même en elle… tout du moins… il espérait. Oui, Virgil ne voulait pas s’engager, il n’était pas du genre à avoir une relation, une personne avec qui ça pourrait être bien, stable etc… Mais il fallait croire que non. Oui, il n’y avait pas de sentiment de ce genre mais… d’autres étaient là. Des qui portaient à confusions et dont on ne pouvait pas vraiment connaitre la nature… sauf si… on était un minimum doué avec ça ! Là Les deux gamins (il faut dire ce qu’il en est) savaient parfaitement ce qu’il en était de leurs sentiments l’un envers l’autre.

    Les lèvres de Virgil passaient comme une caresse sur le corps de la jeune femme, il était tendre comme jamais avec personne, il n’était plus le vampire assoiffé de sang et meurtrie de pensées d’horreur. Non, il était un doux et séduisant homme mûr qui donnait simple plaisir semi charnelle à sa partenaire de jeu. Un jeu qui s’était mit en place tout seul et qui ne gênait personne… car après tout… qui pouvait bien être au courant hein ?

    Virgil se laissait aller, comme jamais à son habitude, il baisait chaque partie de ce corps qu’il pouvait et remontait sans cesse dans ce petit creux… oui, celui où il avait l’habitude de mordre notre chère et tendre Berlioz adorée. De sa peau si douce et désiré, Virgil ne pouvait chasser de ses pensées toutes les choses qu’ils auraient put délaissés au vu d’une nuit… plus poussée. Pourtant là n’était pas l’idée du sombre préfet vampirique. Non, là… il repensait à ce sang, à cette envie presque irrésistible de venir y mordre et de prendre ce sang qui donnait un tel plaisir !

    La petite maraudeuse parla encore, oh, que ses mots étaient doux aux oreilles du serpentard, il s’empressait de les dévorer à petit cru, tel un grand vin que l’on dégustait pendant des heures pour être sur de ne pas loupé une once de saveur en lui. Ah, Virgil aimait ce son qui sortait de la bouche de la jeune femme, il appréciait et en même temps… le blessait. Oui, ça lui donnait tellement envie… ah, la succube, elle connaissait la manière de faire que le vampire ne se retienne plus. Oui, il était temps maintenant… L’attente était finie !

    Virgil se redressa et plongea son regard dans celui de Berlioz, il caressa les lèvres de sa victime consentante et lui déposa un léger baiser sur les lèvres avant de descendre dans son coup et de continuer à l’embrasser pendant un court instant. Oui, un petit moment où ses canines commençaient à sortir, sans doute que la jeune fille pouvait les sentir, mais… pas encore assez. Non, les crocs se faisaient de plus en plus présents, s’enfonçant doucement dans cette chaire si tendre et douce, délicieuse, succulente… apaisante de part sa chaleur et son goût si… plaisant aux canines de la bête sanglante.

    Le sang coula un peu à côté, mais très peu en vérité. Oui, Virgil n’avait pas envie, le goût… le besoin de laisser la moindre goutte passer en dehors de sa bouche. Non, il était bien là de… prendre ce qu’il lui fallait, pour sa nécessité… pour son plaisir surtout. Oui, il aimait mordre Berlioz… jusqu’à un certain point. Pour le moment… c’était bien, le serpentard appréciait ce moment à sa juste valeur mais après… cela serait une autre histoire. Lorsqu’il s’en rendrait compte… surement que les choses ne seraient pas de même.


[Désolé, pas le temps de faire mieux xs]
Revenir en haut Aller en bas
Hi It'sBerlioz Lothringen


Berlioz Lothringen

▌ Rang : Trompeuse sagesse
▌Swears : 336
▌Age : 35
Localisation : Au pays des rêves

Feuille de personnage
▌Notes
:
▌un petit mot
:
▌Relation
:


Le silence pour seul complice {Pv Virgil} Vide
MessageSujet: Re: Le silence pour seul complice {Pv Virgil}   Le silence pour seul complice {Pv Virgil} EmptyVen 29 Jan - 20:06

    Berlioz n'était pas une demoiselle commune, oh ça non. Quelle fille aurait consenti à donner son sang à un vampire assoiffé, sans même une seule crainte? Elle n'en connaissait pas vraiment ou alors très peu. Au lieu de se sentir effrayée, elle ne ressentait un doux plaisir. Doux plaisir d'avoir été choisie, doux plaisir d'être l'élue, doux plaisir à soulager ce besoin tellement vital et douloureux qui hantait le corps du jeune homme. Non Berlioz n'avait peur de rien, ne regrettait rien, bien au contraire. Elle se sentait fière d'elle, comme si pour une fois, elle se sentait utile. La sensation de faire quelque chose de bien, aussi étrange que cela puisse paraître.

    D'autre part, il y avait aussi cette exaltation, cette sensation de faire quelque chose de défendu. Une montée d'adrénaline si douce, si excitante. Le danger lui donnait l'impression d'être tellement vivant, surtout quand pendant des années, on a été associée à l'image d'un fantôme. Elle avait le goût de transgresser les règles, de faire ce que les autres n'osaient pas. Et pourtant, qui aurait pu croire cela d'elle. Elle, si effacée qu'on oublierait presque qu'elle existe. Elle qui jamais n'ouvrait sa bouche pour dire un mot au dessus de l'autre. Elle si lisse qui semblait toujours prêter attention aux règlements en vigueur.

    Le tempérament de feu qui bouillait dans son sang était si bien dissimulé qu'elle lui permettait de se cacher derrière de douces paroles qui pouvaient si facilement tromper. Elle jouait un rôle, sans doute le rôle le plus important de toute sa petite vie. Elle avait le haut de l'affiche mais elle agissait sous un masque telle une Zorro des temps modernes. Elle ne mentait pas, ne trompait qu'à moitié. Elle évitait simplement de montrer son vrai elle en se cachant derrière une fausse apparence de transparence, de quiétude.

    Ceux qu'elles trompaient n’étaient certainement pas ses "proches". Avec ses "intimes", elle se révélait être réellement elle, avec ce petit goût de la transgression, de la provocation. Mais qui étaient donc ses intimes? qui pouvaient réellement se vanter d'avoir des rapports assez étroits avec elle pour pouvoir dire vraiment la connaître? Elle ne savait pas vraiment mais elle était sûre d'une chose c'est qu'en ce moment même, elle ne jouait pas. Elle avait laissé tomber toutes ses défenses une à une pour profiter pleinement de ce petit moment de bonheur, de douceur. Elle se sentait tellement libre de tout obstacle, de toute entrave. Elle avait l'impression qu'elle pourrait s'envoler telle une plume sous l'effet d'un léger courant d'air frais.

    La caresse du souffle du jeune homme sur sa peau faisait naître en elle de douces sensations liées au plaisir de la chair même si leurs étreintes ne dévieraient pas, resteraient à ce niveau tellement superficiel. Elle aimait sentir la douceur des lèvres du jeune homme sur sa peau, douceur à laquelle, elle n'avait jamais goûté auparavant. Jamais, toujours, deux mots qui s'entremêlaient en un doux ballet. Elle ne voulait pas des toujours, oh non jamais se lier à un toujours. Mais en même temps, elle aurait voulu que toujours la douceur habite son être sans jamais ne prendre fin mais sans jamais l'attacher. Oh qu'il était plaisant d'avoir des désirs si contradictoires.

    Elle regrettait déjà le moment où leur câlin prendrait fin, où elle devrait s'éloigner de ce corps si tentant. Elle devra s'en éloigner pour ne pas succomber à la tentation de laisser cela aller plus loin. Désirs contradictoires que celui de repousser les limites toujours plus loin tout en les voulant toujours plus proches, plus présentes. Savoir ce qu'on veut est tellement difficile qu'au fond, il vaut mieux ne même pas y songer. Profiter simplement du moment présent, ne pas prévoir ce qui arrivera, ne pas anticiper pour juste garder le plaisir intact.

    Leurs regards s'accrochèrent un moment, intense échange avant que le préfet ne laisse un léger baiser sur ses lèvres. Il descendit vers son cou, le baisant délicatement mais elle savait que le moment était venu. Elle ne pensait plus à rien, elle ne voulait plus penser à rien. Elle sentait, simplement sentir et entendre. Les canines s'enfoncèrent lentement dans la peau tendre de son cou, elle en ressentit une légère douleur, bien éphémère. Elle entendit ou plutôt crut entendre son sang s'écouler hors de son corps, dans la bouche, dans le sans de son petit vampire. Elle ne dit rien, les mots étaient désormais inutile. Elle sa laissa aller, ferma les yeux, pensant à ce qui s'ensuivraient. appréhendant la suite des événements mais gardant ses craintes légèrement enfouies, tapies en elles comme si de ce fait, elles étaient moindres, endormies, absentes...
Revenir en haut Aller en bas
Hi It'sSorrow Noam Black

Smoke on the water ♪
Sorrow Noam Black

▌ Rang : Empêcheur de tourner en rond
▌Swears : 463
▌Age : 30

Feuille de personnage
▌Notes
:
▌un petit mot
:
▌Relation
:


Le silence pour seul complice {Pv Virgil} Vide
MessageSujet: Re: Le silence pour seul complice {Pv Virgil}   Le silence pour seul complice {Pv Virgil} EmptySam 13 Mar - 20:35

Citation :
Une réponse merci
Revenir en haut Aller en bas
Hi It'sSorrow Noam Black

Smoke on the water ♪
Sorrow Noam Black

▌ Rang : Empêcheur de tourner en rond
▌Swears : 463
▌Age : 30

Feuille de personnage
▌Notes
:
▌un petit mot
:
▌Relation
:


Le silence pour seul complice {Pv Virgil} Vide
MessageSujet: Re: Le silence pour seul complice {Pv Virgil}   Le silence pour seul complice {Pv Virgil} EmptySam 20 Mar - 16:36

Le sujet finit sa course à la corbeille vu le manque de réponse
Revenir en haut Aller en bas
Hi It'sContenu sponsorisé





Le silence pour seul complice {Pv Virgil} Vide
MessageSujet: Re: Le silence pour seul complice {Pv Virgil}   Le silence pour seul complice {Pv Virgil} Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Le silence pour seul complice {Pv Virgil}

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Solemny Swear :: Armoire à disparaitre :: Botins des Rp :: Role play-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit