Lorsqu’elle lui tourna le dos, il ne pus s’empêcher de sourire. Cette fille était vraiment pleine de surprise. Ca c’était claire. Il avait pus remarquer le petit sens ironique de ses dernière paroles, mais n’avait rien fais. A priori, elle n’avait pas envie de parler, pas autant que lui, et il n’avait pas envie de la contrarier. Il la laisse donc suivre son propre chemin. Il la regarda aller donner un coup de main a une pauvre petite de Serdaigle, Elle avait bon fond finalement. Plus qu’elle le pensait, ou du moins, bien plus de ce qu’elle voulait montrer. Ca le blondinet ne comprendrait jamais. Quel était l’intérêt de vouloir se montrer comme quelqu’un de froid ou on ne sais trop quoi encore? Ces serpy étaient vraiment un grand mystère. Bref, il tourna le dos a son tour puis commença a bavarder avec un de ces potes jaunes qui venait le féliciter pour son petit coup. Mais son attention ne reste pas trop longtemps pour le jaune. Ses yeux se retrouvèrent vite, sans même trop savoir pourquoi, dans la direction de la verte. Elle regardait par une fenêtre, comme si elle attendais quelques choses, quelqu’un. Lui peut être? Non ça c’était peu probable voyons. Il sentait bien que se vision a elle n’était pas très différente de la sienne a lui, mais ne voyait pas ce qu’il bloquait. Enfin mis a part sa couleur mais franchement c’était débile. Il posa donc sa board derrière une statut qui ce trouvait la, et s’approcha d’elle.

• « La journée s’annonce bonne. J’ai pas voulus te froisser tout a l’heure. Je voulais juste discuter un peu, pas te faire fuir ou te gaver. Enfin bon fais comme tu veux, moi je dit plus rien. Ca commence a me gaver les gens qui m’ignore ou refuse de voir ce que je suis sous le simple prétexte que je suis jaune… Et blondinet par-dessus le marcher. Alors je vois pas pourquoi une verte comme toi parlerais a un pouffy-blondinet et en plus casse-couille sur le bord, comme ça, pour le simple plaisir de faire connaissance. »
  

Encore une fois, verrait elle le son ironique de sa voix? Il espérait au moins lui décrocher un petit sourire, mais pensant que c’était peine perdus, il ne regarda même pas sa réaction. Il posa son regard sur l’immensité de l’extérieur. Décidément, il ne comprendrais jamais le comportement de certaine personnes. Qu’attendait vraiment Enzy? Au premier abord elle parait cool, et lui montre d’une manière plutôt subtil qu’elle adhère a ce qu’il fait, mais après elle le renvois balader comme une vielle merde. C’était quoi son problème? Elle avait si honte que ça de s’afficher avec le blondinet jaune du bahut? Au fond il faisait celui qui s’en foutait complètement, mais ça le blesser quand même un peu. Choses a savoir, sa famille avait longtemps fais partie des verts, et ce n’était que depuis la génération de son père que cela avait changé. Au départ, les Azalea avait un immense prestige. C’était une famille fière, respecté. Mais depuis que son père est lui même entré a l’école, la famille a complètement décliné. Et d’après ses grands-parents, lui et son père faisait honte a la famille. Bref, ça on s’en fous. En gros, tout simple, pourquoi on le repoussait lui? Sous prétexte qu’il était jaune. Ca le gaver un peu toute ses conneries mais que voulez-vous y faire?

Bref, la journée s’annonçait pas trop mal, alors pourquoi vouloir la rendre mauvaise pour des conneries pareille? Il restait la, au coté d’Enzy, sachant pertinemment que jamais elle ne se dévoilerait a lui. C’était si prévisible. Il fit tourner sa baguette entre ses doigts, le regard toujours river sur l’immensité du parc du château. Tous en continuant ce geste, il prononça une petite formule dans une langue étrangère, et de la neige en sortit a petits flocons. De la neige. Voila de quoi il avait vraiment besoin en ce moment. De ce retrouver dans la neige, au milieu de nulle part. Lui, sa board et la nature. Le pieds total. Il la fit tomber sur le rebord de la fenêtre. Celle-ci était froide, et les tous petits flocons ne fondèrent pas spontanément. Il posa sa main dessus. Le contact du froid avec la chaleur de sa peau lui réchauffa le cœur. Il soupira furtivement. Il était perdus dans le désert de ses pensés. D’un simple coup de baguettes, les flocons disparurent, et le blondinet sortit spontanément de ses pensés. Ouai, ça lui faisait de la peine de savoir tous ça. De comprendre qu’on le prenait sois pour un type complètement guagua, ou pour un mec pas fréquentable a cause de ses couleurs. Mais il ne voulait pas insister non plus. Elle avait beau être vraiment très charmante, si elle ne voulait pas parler, il n’insisterait pas. Au fond, lui, il trouvait sa minable. Et si elle refusait de lui parler sous prétexte qu’il était jaune, bah tant pis pour elle. C’était triste a dire, mais elle n’en valait pas la peine. Il décrocha son regard de l’extérieur et d’un seul coup de main retira toute trace des derniers flocons qui étaient rester sur la pierre au rebord de la fenêtre. A vrai dire, les seul moment au Cass’ pouvait être sérieux c’était dans ce genre de circonstance. Quand il sentait qu’on se forçait a ne pas faire un truc pour un honneur ou un principe minable. Ce qui était complètement le cas.

• « Tu sais Enzelta, je ne te force pas a parler. Je ne te juge pas, ni te blâme. Mais bon, c’est bien triste d’en arriver la. Je sais que t’es une fille bien. Après si t’es décider a me parler comme une sous merde sous prétexte que je sois un jaune ou je ne sais quoi, c’est ton problème, mais j’en pense pas moins. C’est d’une tristesse tous ça. Et d’une telle connerie. Ca me fais de la peine. Pas de savoir que je suis loin d’être apprécier de tous les Serpys, mais de savoir que l’on me juge sur une couleur que je n’ai même pas choisi. Je sais que je t’emmerde avec tous ça. Mais je l’en fous. Si ça te fais vraiment honte de t’afficher en train de blablater avec moi c’est ton problème, pas le mien. Mais c‘est vraiment triste d‘en arriver la. »
  

[HS : à noter que Edward McStone est aussi en 7e année à Poudlard, donc il est normalement connu de Cassandre ^^ bonne chance héhé]

http://www.deezer.com/fr/#music/result/all/shinedown call me (1er)
http://www.deezer.com/fr/#music/result/all/puddle of mudd blurry (3em de la playliste.)
http://www.deezer.com/fr/#music/result/all/staind so far away

Alors c’était donc ça. Quoi que, la il était pas sur de tous comprendre enfaite. Mais il n’eu aucun mal a reconnaitre le portrait d’Edward sur cette photo vus que les deux ce connaissait plutôt bien pour partager la même classe. Non il ne comprenait pas tous. Mais en tous cas, il n’avait plus envie de faire le con du tous. Un coup de sérieux c’était abattue sur lui. Il essayait de comprendre ce qu’elle pouvait ressentir a ce moment même. Essayant de comprendre ce qu’Ed faisait sur cette photo. Ils avaient déjà eu l’occasion de ce parler en effet. Car elle le martyrisait pas mal au début de sa scolarité. Mais sur des années a vrai dire. Jamais il n’avait mentionné qu’il était son… Non c’était impossible. Il se ressemblait en rien, mais alors rien du tous. L’un avait les cheveux d’un brun plus que soutenue et l’autre les cheveux blond comme les blé. Puis niveau caractère… C’était plus que invraisemblable. Sur le coup il n’osait rien dire. Elle reposait là, sur son épaule. Et enfaite, ce qu’il ressentait a ce moment c’était plutôt de la peine. Pourquoi elle souffrait? Une fille comme elle ne méritait pas ça. Oui il l’appréciait, oui elle lui plaisait et alors? Il lui caressa les cheveux espérant que ça la réconforte un peu, et pour une fois il ne trouva rien a dire. Juste profiter de ce moment qui risquait de s’arrêter brusquement. Avait elle envie de lui expliquer ce qu’il se passait réellement? Ca il le savait pas, et il était même pas sur d’avoir le courage de lui demander car c’était a cause de lui si elle était comme ça.

Mais malgré qu’il sois perdus dans ses pensées, il regarda a nouveaux cette photo qu’elle tenait. Tous le monde était tous sourire, sauf une personne, elle. Mais pourquoi? La il comprenait plus rien, et il était même pas sur de vouloir en savoir plus. La seule choses qu’il avait compris c’est que ça lui faisait du mal de ce retrouver a Serpentard. Mais le pourquoi du comment. Argh puis il s’en foutait de tous ça. Maintenant a cause de lui elle était vraiment mal. Et il n’était même pas sur de pouvoir lui remonter le moral avec de simple caresses dans les cheveux et le contacte de son épaule. Mais au moins, elle avait trouver sur qui pleurer. Et ça représentait déjà beaucoup pour notre tête blonde. Il colla sa tête contre la mur et resta la, le temps qu’elle voudra. Sa présence lui faisait du bien, et par la même occasion il se rendit compte qu’il ne pensait plus du tous a Night pour le moment. Pourquoi pensait il d’ailleurs a ça tous de suite maintenant?

Voila comment se sentir bien con en peut de temps. Se rendre compte que la fille qui est sensé être notre pires ennemis, notre persécuteur se retrouve a la place de la fille qui a fais battre notre cœur quelques mois auparavant. Oui je sais c’est durs de suivre, mais pourtant très compréhensible quand on y pense. Voila, il était tous simplement bouffé par le remords. Celui de la mettre dans de tels états. Mais elle méritait pas ça de sa part, pas de lui… Il était vraiment stupide quand il s’y mettait aussi celui-là. Mais pourquoi après tous ce qu’elle lui avait fait… Non mais. Au final elle ne l’avait pas tant martyrisé vus qu’a chaque fois il renchérissait… Oui mais elle avait continuer dans l’espoir de trouver sa faille a lui… Mais ce fut lui qui trouva la sienne… Mais non elle méritait pas ça du tous… Voila il était encore confus. Mais la voix la plus forte était celle qui lui disait de réparer les pots casser et vite vite vite. Si elle avait était changé comme ça par une seule personne. Pourquoi ne pourrait il pas lui rendre ce qu’elle était avant? Non la il fabulait. Il savait vraiment plus quoi faire du tous. Il était complètement pommé. Une seule personne… Parfois il ne suffisait d’un rien pour tous renverser.

Il avait l’impression que leurs rôle avait était inverser. Et dire qu’il aurait du allait chez les Verts. Si seulement elle le savait. Voila pourquoi il était si différent des jaune. Et elle, elle aurait du être a sa place. Ou peut être chez les rouge comme Edward. Le hasard fais bien les choses. Mais sauf qu’il l’avait accepter. Même en étant renier par sa famille entière. Et c’est ça qui lui faisait le plus mal. Voila sa faille a lui. Son grand père avait tous misé sur lui pour redonner l’honneur de la famille, qui avait couler avec l’entré de son père chez Poufsouffle. Mais tous ses espoirs était tombé a l’eau, quand il avait appris que Cass’, comme son père, était entré chez les jaune. Adieux les parties de pêche, adieux les cadeau hors de pris pour noël. Les balades a poney. Les poney, il avait même repris Mistoufle, le poney qu’il lui avait offert pour ses sept ans. Au final, Cass et Enzy se ressemblait peut être plus qu’il ne le pensait. Mais ça, il n’avait pas le courage de lui en parler. Elle le serait bien au jour c’est surs. Mais pas tous de suite.

Quelle merde. C’était cruel. La vie était cruel des fois quand même. Voila comment passer de deux stade différent. De la haine a l’amour. De la joie a le souffrance. De la pitié a la compassion. Il suffisait quelques fois de quelques mots. Juste quelques mots qui avait causé une peine énorme. Mais pourtant qui lui avait permis de se rapprocher d’elle. Qui l’u crus. Cassandre Azalea sous le charme de Enzelta de Rocan. Le portrait actuel en aurait fait rire plus d’un. Mais il ni y’avait rien qui puisse donner la gerbe dans tous ça. Les verts en auront rit, les jaune en auront étés soulagé. Mais pour le moment peu lui important. Le sentiment qu’il ressentait tous de suite aurait surement fait beaucoup de peine a Benji, car la il se foutait de savoir a qu’elle sauce elle le mangerait demain. Car comparait a Benji, il savait qu’elle avait un cœur. Il se demandait bien comment il pourrait lui dire ça d’ailleurs. Mais pour la première fois au risque de paraitre égoïste, il se foutait bien ce qu’il pourrait ressentir.

Qu’il était dans une drôle de situation quand même. Voila qu’il avait envie de lui tenir la main maintenant. Non se serait trop osé. Mais déjà, elle c’était laisser porter sur son épaule. Comment réagirait elle a ça? Bref, il réussissait a penser a ça en quelques secondes. Imaginez un peu ce qui pouvait s’entasser dans la tête blonde. En quelques secondes. Car oui, cela ne faisait que trente seconde qu’Enzelta avait tirée la photo de sa poche. Beaucoup trop de choses a penser a la fois comment voulez-vous alors vous contrôler? C’est quasiment impossible. C’était peut ça son côté verts caché au fond. Celui qui ne se laisse pas faire, qu’il dit ce qu’il pense sans grande tact. Ses faculté presque parfaite en potion a tel point qu’il inventer lui-même ses propres remèdes. Mais les jaunes était nullissime en potion c’était bien connus c’est un truc de verts ça! Tous ces petits détailles insignifiant qui on fait que, oui, il osa sans même grandement réfléchir a lui prendre la main dans laquelle se trouvait la photo. Est-ce que en avoir rien a faire de savoir du comment et du pourquoi on devient un monstre c’est être un monstre lui-même? Non, il ne le pensait pas. Car le passé était le passé. Et il savait qu’Enzelta avait en elle une conscience bien plus grande qu’elle ne laisser transparaitre. Alors oui, il lui avait prit la main. Et réussi finalement a rompre le silence au risque de perdre tous contact, et de paraitre un temps sois peu trop sensible ou on ne sais quoi.

• « J’aurais du être a ta place. Elle est la ma faille. Je suis un vert refoulé. Et oui. J’ignore ce que fais Edward sur la photo mais je comprends que c’est lui qui t’a bouffé ton existence. Mais sache que rien n’est jamais trop tard. Je sais que tu aurait préféré que ce sois quelqu’un d’autre que moi qui découvre ça. Mais passons. Tu peux me faire confiance Enzy. Je garderais tous ça pour moi promis. C’est pas facile non plus de savoir que tous les jours on se fais « agresser » par des gens avec qui tu aurait du partager la maison. Mais ainsi vas le monde. Cette souffrance que tu a en toi finira par partir. J’aimerais tellement que tu puisse me faire confiance… »
  

http://www.jiwa.fr/#search/track/%7B%22q%22%3A%22Evanescence%22%7D (dans l'ordre! Going under/ Bring me to life/ Lithium, l'avantage de Jiwa, tu met lecture sur chaque chanson ça te fais une playliste, et ça defil, sa fais une suite logique. Normalement la musique suis bien le file de la lecture! Voila! J'ai mis le temps mais c'est fini! Bonne lecture!)

**Je t’en pris fais pas ça… Arrête… Pourquoi tu ne me repousse pas… Arrête… **

Il sentit sa main ce refermer sur la sienne. Elle ne devait pas faire ça. Les pulsions masculine étaient parfois difficile a contrôler. Il la laissa pourtant faire, et resserra encore plus son étreinte quand elle commença a ce confier a lui. Il buvait ses paroles, n’en lâchait pas une. Elle avait l’aire d’avoir tellement souffert. C’était injuste. Pourquoi faire souffrir une fille aussi merveilleuse qu’elle? Il la sentit pleurer, et sécha les quelques larmes qui coulaient le long de ses joues. Il n’avait plus aucune limite. Plus rien ne comptait, c’était comme s’il était coupé du monde extérieur. Il n’écoutait plus le monde qui passait a proximité d’eux. Ignorant complètement les regards qu’on leurs lançait. Oui, on les regardait. Qui ne connaissait pas Enzelta et Cassandre? Alors les voir ensemble pouvait engendrer de drôle de réaction, et c’était le cas. Mais il s’en foutais. Il ne comprenait pas ce lien fusionnel qui était en train de naitre entre eux, mais en tous cas, il ne voulait pas le rompre. Plus elle se laissait aller, plus elle se collait contre lui, se blottissait comme si elle trouvait enfin un peu de réconfort. Elle n’avait pas a se justifier, il savait très bien qu’elle n’était pas ce qu’elle laissait entrevoir. Il aurait dut refouler cette putain de pulsion masculine, mais il ne pouvait pas. Et de toute manière il n’en avait pas envie. Il ne pouvait pas. Cela faisait quelques temps qu’il voyait son visage. Par flash brutal, mais régulièrement. Quand il parlait a une fille c’était elle qu’il voyait, quand il dormais aussi. Le savait elle?

Sa main glissait le long de ses joues, séchant ainsi les larmes qui coulait a flot. Le contact de sa peau si douce et si chaude lui apportait aussi une sensation de tranquillité. Une sensation qu’il n’avait jamais ressentit, même en compagnie de Night. Un élève vert passa prêt d’eux et leurs lança une vielle remarque. Un petit merdeux de troisième années, mais il n’hésita pas a sortir sa baguette pour le remettre vite a sa place. Il envoya balader ses livres a l’autre bout du couloir et d’un seul regard lui fit comprendre qu’il devait gentiment continuer son chemin si il ne voulait pas que ça parte vraiment en sucette. C’était pas le bon moment. Il laissa tomber sa baguette et resserra Enzelta encore plus fort contre lui. Il relâcha sa main et l’attrapa par les épaules. Il ne voulais pas la laisser partir. Il lui embrassa le front, essayant ainsi de lui apporter du réconfort. Il était là pour elle, pour la protéger, et ne la laisserait jamais dans la merde. Il se promis tous ça, et s’y tiendrait, au risque de perdre le confiance de certaines personnes. De ses amis les plus proches.

Benji, Leny, Vety, Tonie, ses amis les plus proches, les seuls en qui il avait vraiment confiance. Les seuls qui étaient toujours là pour lui. Mais là, seule Enzy comptait. Elle seule et personne d’autre. Il ne se rendit même pas compte lorsqu’il lui releva le menton afin de croiser son regard. Ses lèvres se posèrent instantanément sur les siennes. Que venait il de faire? Il en savait rien. Mais en tous cas il en avait très envie. Simple pulsion masculine? Simple chimère ou simple envie, il savait pas du tous et avait pas envie d’y penser, ni d’y réfléchir. Il avait juste envie de profiter de ce moment. Ce doux moment qui s’offrait a lui, et qu’il allait rompre avant de se prendre la raclé de sa vie. Il n’avait pas envie, pas envie de prendre le risque de la faire fuir. De la brusquer ou encore même de la rendre encore plus haineuse, de faire en sorte qu’elle le déteste a en crever. Qu’elle le haïsse comme elle haïssait Benji et encore plein d’autre. Que toute part d’humanité en elle disparaisse, comme ça, en un claquement de doigt. Ses lèvres étaient si douce, si chaude…Lui procurait tellement de bien, d’envies… Il ne pouvait pas…Alors il rompit le lien, se releva, et lui tourna le dos sans plus rien dire…

Il la laissa la, seule. Il fit deux mètres. Deux petits mètres, pas plus. Il pouvait sentir sa présence derrière lui, deux yeux qui le perçait. Que pensait elle? Il n’en savait rien. Il avait l’impression de rien comprendre, de rien savoir, il était a nouveau perdue, pommé. Complètement pommé. Il ne bougeait pas. De toute manière ses gambes ne pouvaient pas l’amener plus loin. Il n’avait, ou plutôt, elle n’avaient pas envie de bouger. Il savait que s’il faisait demi-tour elle le claquerait. Prendrait il le risque? Depuis leurs rencontre elle ne faisait que de le surprendre. Alors peut être qu’elles avait acceptée, appréciait même, et voulait recommencer. Non c’était impossible. Il divaguait complètement. C’était totalement absurde… Absurde… Se réveiller, il devait sortir de cette machination. Il ne pouvait se réveiller, ce n’était pas un rêve. Etre sauvé, de quoi comment? Il venait de danser avec le diable lui-même. Franchir la limite, cette pulsion qui le bouffait. Il avait craquait. Et maintenant il ne savait plus ce qu’il en était. L’accepter… Il avait juste envie qu’elle l’accepte, qu’elle lui appartienne…

Maintenant il sans voulait, commençait a comprendre de l’erreur qu’il venait de faire. Pourquoi il avait fais ce faux pas? Qu’est-ce qu’il avait encore fait? Mais quel con parfois! Il était totalement abrutie! Il avait encore tous gâché, tous raté. Pourquoi était il dans l’incapacité de réfléchir dans de tel situation? Apprendrait il un jour a ce contrôler? Quel cauchemar, il voulait se réveiller. Pouvoir recommencer, effacer toutes ses conneries. Changer, faire en sorte qu’elle lui pardonne toutes ses erreurs… Ne pas lui en vouloir, faire comme si rien c’était passer,… Tous effacer, Qu’elle le reprenne dans ses bras… Qu’elle lui pardonne, lui dire qu’elle le voulait et ceux jusqu’à la fin…

Planté la, il ne bougeait plus. Ignorant ce a quoi elle pensait, ce qu’elle pouvait bien faire derrière son dos. Que voulez-vous qu’il face lui? Qu’il retourne la voire? Lui dire le fond de sa pensée et sans prendre une? Lui dire qu’il était désolé alors qu’il ne l’était pas? Non, il n’était pas comme ça. Alors oui, il avait l’aire con tous de suite maintenant, debout en plein milieu du couloir, a quelques mètre de la fille qu’il venait d’embrasser. Oui il venait de ce barrer, il avait joué le lâche. Pourquoi? Mais par-ce-que. Il avait peur. Pas de son geste. Ô que non. Mais peur de sa réaction a elle. Il ne voulait pas la perdre alors qu’il venait de gagner sa confiance vous comprenez? Comment essayer de comprendre le fond de sa pensé alors que lui-même ne la connaissait même pas? C’était difficile. Il ne savait plus du tous quoi faire, ni ou ce mettre. Devait il la regarder? Toute ces genre de questions débiles qui ne servent a rien dans ce genre de situation. Cette putain de voix dans sa tête qui lui disait de ce retourner et d’aller la chercher, de l’embrasser… Et l’autre qui lui disait de rester là, et de partir…

Les yeux fermés, il essayait de comprendre la bonne solution. Ignorant, il ne pouvait pas rester planté la plus longtemps. Faire vite, vite avant qu’elle ne parte sans rien dire. Agir, et ne plus penser. Lui sauter dessus, lui dire le fond de ses pensés. Rien de compliquer. Des choses simple qui pouvait simplement lui faire comprendre. Il ne devait pas sans vouloir, il n’avait rien fait de mal. Juste embrasser. Un simple contact physique que voulait dire plein de choses. Un simple baisé. Rien de grave. Pourquoi avait il honte? Ca ne lui ressemblait pas. Il osa enfin croiser son regard. Il en disait plein, déjà bien trop… De la compassion, de la compréhension, de l’adoration, peut être même de l’amour. Il n’y avait rien de mal a cela. Il refit les deux petits mètre dans l’autre sens. Et s’assit juste en face d’elle, joignant ses mains avec les siennes:


« Tu te sens capable d’aller au-delà des critiques et de ces vielles remarque? On les emmerde Enzy. Crois moi quand je te dit que la j’ai qu’une envie c’est d’être avec toi. On peut passer au dessus de tous ça. Pour une fois faisons ce qu’on a envie de faire, pas ce qu’on nous dit de faire. Je suis la pour te protéger, pas pour te bouffer l’existence. Et puis, si il faut, je me ferais une joie de me faire un ou deux vert. Il n’ont pas le droit de décider a notre place, de ce foutre de ta gueule pour ça, laisse ces gamins puéril et immature penser ce qu‘il veulent. Mais putain on est plus fort que tout ça. »

Il ne la quittait plus des yeux, et pensait chaque mots qu’il disait, bien entendue. Il était connue pour emmerder le monde, mais il ne savait pas si Enzy serait prête a le faire. Du moins il l’espérait. Elle ne devait pas avoir peur. Mais juste lui faire confiance et le suivre. Au fond, pourquoi séparer deux êtres qui se désirs? C’était dégueulasse. Pas humain. Ces putains de conformités commençait a l’emmerder. Il avait toujours fais les choses différemment au risque de s’attirer les pires emmerdes, mais là, c’était bien différent. Il savait qu’il se mettrait tous les verts a dos, peut être même les jaune. Qu’il s’attirerait le regard des rouges et peut être celui de bleus. Mais qu’est-ce qu’on en a a foutre de tous ça? C’était des conneries. Même si Liam devait le frapper, même si Virgil devait lui déchirer la carotide. Au risque de perdre ses amis, pourquoi lui interdirait on de fréquenter la fille qu’il désirait? Dite le lui, essayez de lui faire comprendre, il vous renverrait chier comme des vielles merdes. Il ne la lâchait pas, et continuer d’ignorer les regards qui lui perçaient le dos, les rires de moqueries, les injures envers Enzelta. Il savait pas ce qu’elle pensait de tous ça. Si tous de ça pouvait l‘atteindre. Si elle ignorait ou si au fond d’elle, elle bouillonnait. Il aurait aimer savoir, rien que pour faire ce qu’elle désirait mais ne savait pas. Alors encore une fois il sortit a baguette, fit le premier pas, en attrapa un par le colback. Jamais on ne pourrait la toucher!

« Allez tous vous faire foutre! Putain mais c’est quoi votre problèmes? Qui veux jouer au con? Ca vous regarde ce qu’on fais merde? Bandes de cons, petits merdeux de mes deux! Allez voir ailleurs jouer avec vos poupées et vis pingouins! Non mais je rêves, il nous prenne pour des tigres en cage ou quoi? T’a un problème toi? Je te préviens si tu touche a un seul de ses cheveux, si tu laisse apparaitre ne serais-ce qu’un soupçon de sourire sur ta putain de gueule de merde c’est mon poings qui viendra se poser sur ton pif de ras! Je me suis bien fais comprendre? Ou tu veux un putain de dessin? »

Il reposa le gamin sur ses deux pieds en le poussant un peu. Celui-ci tomba sur le cul avant de partir. Plus personne n’osait les regarder. Rare était les fois ou le blondinet se mettait vraiment en colère, mais là, c’était le cas. Il se demandait si il avait encore tous gâcher, ou non. Mais ne s’excusa pas. C’est vrai. Pourquoi devait il se justifier et s’excuser? On les reluquait depuis tout a l’heure fallait bien arrêter un moment ou un autre. Il se retourna vers Enzy, un soupçon de passion pouvait se lire dans son regard derrière celui de la colère. Il ne se rassit pas en face d’elle, mais a côté, contre le murs. Attendant que cette fois ce sois elle qui vienne a lui. Si elle en avait envie elle le ferait. Et il espérait, attendait que ça. Il se calmait un peu, culpabiliser d’avoir montré une face de lui qu’il aimait tant cacher, car il n’était pas comme ça. Mais il refusait, ne pouvait accepté une seule fois que l’on se moque d’elle. Pas quand elle était dans de tels états, elle avait pas besoin de ça., pas maintenant. Il avait encore envie de lui sauter dessus, de l’embrasser une seconde fois, faire perdurer ce plaisir mais rien. Il restait la, comme un con, trouvant une seule choses a dire:

« On fais quoi maintenant? »

Citation :

Bonjour,

Une réponse doit être donnée à ce sujet. Ceci est le premier avertissement