Plus qu'une correction, de la maltraitance. Mais que voulez-vous y faire? (Sorrow)

Stairway to heaven

Encore un jour qui passe. Un de plus. Vingt-quatre heures de passé, sois mille-quatre-cent-quarante minutes et quelques millions de secondes. Il était neuf du matin a Mexico, deux heure du matin a Tokyo. A Nairobi, capitale du Kenya, un petit enfant de six ans murut a dix-sept heures et un autre a vingt-et-une heures dans les montagnes froides de l’Oural. Tous ça, en Angleterre il n’étais que quinze heures. Et tant de choses ce passait dans le monde au même moment, a des heures si différente. Notre petite tête blonde était assis dans le parc, sur son skate, l’esprit divagant, imaginant toute sorte de choses. Des choses qu’il pourrait faire si il aurait était ailleurs au même moment. Comme aller skier en Nouvelle-Zélande a une heure du matin, ou ce balader les pieds dans l’eau azure et déjà chaude des Bahamas a dix heures du matin. Et oui, Cass’ rêvait beaucoup en ce moment. D’un monde un peu utopique mais surement meilleure que celui-là. En ce moment ce n’était pas la joie dans la tête du pouffy-blondit. Allez savoir pourquoi.

Depuis ce matin, on ne l’avait pas vus sourire, pas vus courir partout. Dans les couloirs on l’avait aperçus a pieds, la skate sous le bras. Normalement il était dessus. On n’avait pas vraiment besoin de le connaitre pour voir que aujourd’hui, Cassandre bader un peu. Ces moment étaient vraiment très rare, mais il restait humain. Et des fois ça le prenait. Un petit moment de déprime. Une seule journée. Mais vingt-quatre heures c’est long quand on a l’esprit en vrac. Il ne savait même pas ce qui n’allait pas chez lui. Un ras-le-bol de tous peut être. De cette école, de ce régime de merde. La ou il se sentait enfermait comme un tigre en cage. Il avait beau se battre, dire merde, on l’enfermait de plus belle et dans des pièces de plus en plus petite. Tous ses regard tournée constamment en sa direction. Tous ses rires, ou ses paroles que l’on lançait dans sa direction n’importe ou il passait. Ho que oui sa réputation de mec cool, con ou complètement détraquer il l’avait bien choisis. Mais il restait humain et des fois oui, on en a ras-le-cul complètement de cette étiquette de merde que l’on vous colle a la tête, sur votre front. Cette même étiquette qui ne vous quitte pas. Et eux. Ces salopard qui l’épiés n’importe ou il allait sous prétexte qu’il refusait catégoriquement d’exécuter toutes leurs volontés. Mais elle était passée ou cette putain de liberté d’expression?

Un ras-le-bol voila ce qu’il avait. Marre de tous. Et oui, le blondinet faisait rire, épatait la galerie mais parfois dans sa tête ça n’allais pas si bien que ça. Et il n’aimait pas montrer au gens quand ça n’allait pas. Il préférait s’enfermer dans sa bulle et rester seul, comme il le faisait la. En ce moment. La il avait envie de rien. Sauf de s’évader. Alors, assis sur sa board, il imaginait un autre monde. Il imaginait dans sa tête tous les endroit du monde d’on il avait déjà entendus parlé, l’heure, et ce qu’il pourrait bien y faire. Ca en fait un sacré paquet de conneries qui s’entasse dans une si petite tête. Mais ça l’aider a se sentir déjà mieux. Un petit peu. Il faisait tourner sa baguette ente ses doigts passant ainsi le temps. Enfaite, il s’emmerdait ici quand il ne faisait pas de conneries. La château vivait dans une telle frayeur que personne n’osait faire quoi que ce sois. Et c’était facile de s’emmerder dans un tel univers quand on s’appelait Cassandre Azalea. Il avait besoin d’aventure, d’adrénaline. Voila ce dont il avait besoin. Un truc qui le boosterait mais quoi? Quoi faire? De toute manière, même si il bougerait le moindre petit doigts on le dénoncerait pour « rébellion » envers sa merveilleuse inquisition. Pfff c’était ça d’être fiché. Il mâchouilla un brin d’herbe, et s’allongea dans l’herbe afin de regarder l’immensité du ciel. Il ne sus pas vraiment combien de temps il resta là, mais quand il ouvrit les yeux la soleil tombait, et la lune commençait a monter haut dans le ciel. Fallait qu’il songe a rentrer. A retourner s’enfermer dans ce monde de pourris. Quelle merde. Il ressentit un pincement dans le cœur. Il avait beau ce dire qu’il lui restait que deux petites années, il en avait marre. Il était blasé. Voila ce qu’il était. Blasé d’être ici. Il se releva quand même, et pris la direction des grande porte sur son skate. Rouler ne pourrait que lui faire du bien.

Mais même en roulant, il n’arrivait pas ressentit cette jouissance. Oui, quand vous badez c’est bien connus, rien ne vas. Vraiment rien. Et c’était le cas pour Cassandre. Il avait tendance a voir le mal partout quand il allait mal. Demain ça ira mieux, mais la, ce n’était pas son jour du tous. Il était perdus dans ses pensées, et il ne la vit pas arriver. Mais alors pas du tous. La seul choses qu’il ressentit fut un choc. Il sentit juste son bras craquer et son épaule se déboiter sous le choc. Il cria un peu de douleur. Son bras était cassé. Il faisait un angle bizarre. C’était l’avant bras. Une larme de douleur roula le long de sa joue qui était devenue toute rouge du a l’effort, le froid et surtout la douleur, et lorsqu’il releva les yeux, il comprit qu’il en avait encore fait une. Involontairement certes, mais il allait encore prendre cherre. Normale, c’était lui. Il grimaça lorsqu’elle le prit violement par son bras casser pour le relever. Elle fit bruler sa planche sous ses yeux et le força a regarder. Quelle monstre. Il la détestait. Sans était trop. Elle allait prendre ça c’était formelle. Il fut mis en retenue, sans même passer par la case infirmerie. Pendant deux heures, il du écrire des lignes, encore et encore, a l’aide d’une plume qui gravait dans sa main les même mots qu’il écrivait. Rien n’allait en ce moment.

Deux jours c’était écouler depuis l’incident. Il avait réparé son bras aussi bien que mal, seul, comme il avait pus, et son père lui avait fait parvenir une nouvelle planche. Ses parents étaient malade de savoir tous ce que l’on faisait vivre a leurs fils, mais il n’avaient aucun pouvoir, et le blondinet voulait absolument s’en sortir seul. Sans l’aide de personne. Il était assai grands pour ça. Il avait parlé a personne de ce qui c’était passé. Sauf a ses parents bien sur. Fallait bien justifier le pourquoi sa board avait prit feu et il était hors de question de mentir aux anciens quand on porte le nom de Azalea. Mais la, cette pétasse d’inquisitrice avait était trop loin. Bien trop loin. Et il n’allais pas laisser passer. Depuis deux jours il était resté enfermé dans sa chambre. Bien sur ses amis s’inquiétaient pour lui, et ce demandaient bien ce qu’il pouvait fabriquer. Mais il répondait toujours la même choses, « rien ». Rien c’était vite dit quand on était en train de préparer la potion qui pourrait tuer ces deux salop. Forcement. Même pour les sorciers l’arsenic était quelques choses de mortelle. Il en avait plus rien a faire. Son bras lui faisait encore mal malgré les potions qu’il se préparer lui-même, et ses méthode pour se soigner. Car oui, malgré ça, Cassandre avait de l’avenir dans le domaine des potions. C’était son points fort, et il savait se montrer très bon physiciens. C’est pas par-ce-que l’on fat le con que l’on est con n’est-ce pas?

Il attendus encore quelques jours. Une semaine exactement avait était nécessaire a la fabrication de sa potion. Un poil d’arsenic accompagné de plein de petit d’autre choses. Trop doux pour être mortelle, mais trop fort pour procurer des nausée et des brulures intense a l’estomac durant un mois. Et seul lui-même avait la recette de l’antidote. Bien sur le plus durs restait a faire. Rentrer dans son bureau, et lui versait son petit cocktail dans sa tasse de café. C’est encore en skate qu’il sortit de sa chambre. Il irait bien plus vite en skate que quatre roues que sur deux gambes. Normalement a cette heure la Ombrage était encore dans la grande salle pour se goinfrer de tout sorte de gâteau bien gras et dégelasse. Il ouvrit magiquement la porte de son bureau et s’incrusta a l’intérieur en prenant bien soin de ne pas faire de bruit et de bien fermer la porte derrière lui. Comme il se l’attendait, il trouva la théière sur le bureau. Il connaissait suffisamment ce bureau pour y être convoquer régulièrement toutes les semaines. Il souleva le couvercle et y déversa le contenue d’une petite fiole en cristal. Il pris le soin de ne pas s’en mettre sur les doigts. Il referma le tous et voulu entreprendre de sortit de cet enfer au plus vite. Mais lorsqu’il se retourna, il tomba nez à nez avec cette espèce de vipère. La réaction fut immédiate. Elle se mit a lui hurler dessus, l’attrapa par son bras qui était encore fragile avec un tel poigne que l’os se recassa illico. Il se mit a hurler de douleur mais elle ignora ses plaintes et l’embarqua directement dans la salle de retenue.

Elle le sema de rester enfermer dans cette salle pour les trois prochains jours, voir plus si il ne comprendrais toujours pas qu’il fallait respecter son putain de règlement. Il ne fit rien. Sa sanction fut celle de confectionner les potion les plus complexe qu’il sois. Un maximum en trois jours. A chaque échec, il se devait de recommencer et il prenant du temps en plus. Voila pourquoi il était bon de préciser que le point fort de notre tête blonde était les potions. Mais ça, la peau de vache l’ignorait complètement. Et il réussit toute les potions sans grande difficulté. Le troisième jours, il commença le Felix Felicis. Il commença a concocter le mélange lorsqu’il entendit la porte s’ouvrir. Son bras en écharpe, il sursauta lorsqu’il vis Ombrage passer avec un élève qu’il connaissait bien. Sorrow. Son compagnon de retenue. Bizarrement, la présence de son compagnon le rassura un peu, et pour la première fois depuis trois jours il ressentit du soulagement. Il lui sourit et attendit que l’autre conne sortit de la salle.

« Hey Sorrow! Bienvenue. Je m’ennuyait sans toi. T’a fais quoi encore? »

Il essayait de garder un ton amical, normal, rassurant. Le ton que quelqu’un aurait si tous allait bien. Mais n’ayant pas pus soigner son bras depuis trois jours celui-ci avait enfler et la douleurs c’était amplifié. Il grimaça un peu mais essayait tous de même de garder l’aire de quelqu’un qui allait bien. Si seulement cette pétasse avait bus le thé! Mais bon, elle l’avait jeté vus qu’elle l’avait vus faire, ça c’était certain. Il fini par s’assoir sur sa chaise, exténuer, en écoutant ce que Sorrow allait bien pourrait bien lui raconter. Ca lui ferait du bien un peu de compagnie.

♫ **Smoke** on the water ♪

( attention à ton orthographe, passe ton texte sous correcteur ^_^)

Que se passe-t-il dans le monde de Sorrow Noam Black, vous vous le demandez n'est ce pas, vous allez vite avoir la réponse. Si vous pensez que le pauvre s'est calmé et a évité la retenue vous vous fourrez le doigt dans l'oeil. Notre Sorrow a d'ailleurs été plus virulent que jamais, il faut dire qu'oser lui dire que son uniforme fait de lui un être presque normal ce n'est pas le bon plan. Le petit bleu répondit donc cinglant que lui avait la classe avec tout ce qu'il portait et ne ressemblait pas à un sac de patate métis. Résultat une semaine de colle supplémentaire, mais quelle idée, elle commence et c'est lui qui est puni. Il détestait cette bonne femme, il n'y a pas à dire.Une journée commencée par ombrage est une journée gâchée, dicton à retenir absolument pour le futur. Deux heures avec cette magicienne de pacotille avaient suffi pour mettre le bleu dans tous ses états et lui filer une migraine carabinée. Il avait donc entamé le cours de sortilèges sans aucun enthousiasme, faisant juste le strict nécessaire pour obtenir la formule sans réellement y mettre du coeur. Ce mal de tête lui vrillait les tempes, il sentait le sang battre la mesure dans ses oreilles, de quoi se recoucher en fait, mais il restait encore longtemps avant d'obtenir le repos salvateur.Il avait posé sa tête traitresse contre ses bras une fois l'exercice terminé et il s'en était fallu de peu qu'il ne s'endorme. Le coup de coude salvateur de son voisin fut de mise. Il avait terminé la matinée avec joie, envahissant très rapidement l'infirmerie pour obtenir une aspirine ou son équivalent magique. Une journée avec en plus deux heures de retenue avec ombrage il en aurait bien besoin n'est ce pas? Merlin qu'avait-il fait au destin pour être si mal vu ces temps-ci? Le destin semblait avoir eu pitié de ce bleu éploré, un professeur, pas de cours, réunion il n'avait pas trop écouté à vrai dire, il avait juste apprécié le fait de ne plus avoir cours à partir de quinze heures et c'était déjà une bonne chose non? Après avoir avalé non sans un dégout certain le remède proposé par l'infirmière, il avait erré sans but dans les couloirs de Poudlard, il avait fini l'entièreté de ses devoirs et la plupart de ses connaissances et amis se trouvaient toujours en cours. Que faire n'est ce pas? Il releva la tête et se rendit compte que ses pas l'avaient mené directement à la salle de retenue. Damned, son pauvre corps était maintenant conditionné à venir ici sans problèmes et le trahissait de lui-même lorsque son cerveau se mettait en mode réflexion contre la vieille folle. Pfff il détestait cette salle mais elle avait un avantage certain, personne n'y venait jamais en dehors des retenues du soir, il y serait donc tranquille comme tout pour réfléchir et dormir. Il n'aurait pas loin à aller pour le soir non? Il poussa la porte de la salle honnie et se figea. La salle était occupée et par non moins que son comparse de retenue Cassandre. Le blondinet semblait perdu dans ses pensées, occupé à bidouiller on ne sait quelle potion. Les jaunes n"étaient pas spécialement réputé pour réussir tout ce qu'ils entreprennent. Le bleu se questionna, entrait-il au risque de voir un chaudron lui exploser en pleine figure, ou alors il pouvait rester à l'extérieur et continuer sa marche sans but dans tout poudlard. Le dilemne était de taille mais la fatigue du bleu prit l'avantage sur son instinct de survie et il entra dans la pièce

-Cassandre: # « Hey Sorrow! Bienvenue. Je m’ennuyait sans toi. T’a fais quoi encore? »

Mais rien enfin, il n'avait rien fait pourquoi est-ce que tout le monde pensait donc qu'à chaque instant de sa vie il fomentait un plan tordu contre l'idiote de service? Il avait une vie aussi à mener et cette crétine ne retenait que 34,5% de son attention. C'est précis hein, en même temps vous parlez à un serdaigle donc forcément hein....

-Sorrow:je ne suis pas un stupide vert, je ne fomente rien du tout je me promène.

Il s'approcha du chaudron dans lequel bouillonnait une mixture étrangement brunâtre et acre. Qu'est ce qu'il pouvait bien essayer de préparer. Le brun prit la cuiller des mains du jaune et remua un instant, remontant l'ustensile et regardant l'étrange mélange goutter dans le chaudron. Il fronça le nez de dégout, mazette c'était quoi ça

- Sorrow: Par toutes les menottes de Polux Cassandre qu'est ce que tu fais mijoter? Ne compte pas sur moi pour gouter, je pense que j'en mourrais de dégout.

Stairway to heaven

Ralala ce bon vieux Sorrow. Je vous jure. Le blondinet lui repris la cuillère des mains est explosa littéralement de rire. Bon OK c’est vrai que sa potion avait une drôle de tête tout de suite maintenant. Mais il était loin d’avoir fini. Faut prendre son temps pour les potions! Quoi que, il aurait bien foirer celle-là. Imaginer. Une goute de trop, et hop c’est Ombrage qui la déguste dans l’espoir d’avoir toute la chance sur ses épaules. Rien que d’y penser c’était trop bon franchement non? Imaginez la grossir comme un gros ballon de baudruche. Rien que d’imaginer cette image là ne pus l’empêcher de sourire. Il fit un petit regard mesquin a son camarade de retenue et attrapa une petite fiole sur la table. Il en versa juste deux gouttes, pas plus, et le liquide pris instantanément la couleur argenté qu’il devait avoir. Bah voila. Ca c’était du bon boulot. Il sortie de sa poche trois petits flacons et les remplis tous les trois du liquide. Bon OK c’était interdit de faire ça, et en plus dangereux. Oui rien ne prouver que le blondinet ne c’était pas planter dans ses calcules. Mais en potion il était sur de lui. Vraiment. Il tendit donc un des flacon au petit Sorrow:

« Ca mon pote, c’est le Felix Felicis. Il t’apportera chance dans toutes les circonstances! Après si tu veux pas gouter tant pis, je trouverais bien quelqu’un a qui le donner. Ou peut être le vendre. Tu sais que je peux me faire des couilles en or avec ce machin la! »

Mouai, encore un truc pas très conseiller. Il abandonna vite l’idée enfaite. Il avait pas besoin de pognon en plus. Non mais je vous jure. Les idées a la con de Cass parfois ça fais peur. Il regarda la liste de potion a concocter et lut la seconde. Le filtre de confusion. Tiens donc. Intéressant. Il pourrait en donner au inquisiteurs… Non même pas en rêve. Couché salle gosse. Non mais je vous jure celui-là. Il sauta sur son skate pour aller chercher les ingrédients qui lui fallait dans une petite armoire. Il l’allait retour et posa le tous sur la table. Il ne put s’empêcher d’aller titiller un peu son collègue. A vrai dire il délaissa un peu sa potion. Mouai ça lui prendrait pas trop de temps a faire ça. Celle-là était facile en plus, il la connaissait presque par cœur. Il sauta sur la table de Sorrow et s’assit dessus faisant tomber quelques livres. Il rigola comme d’hab et les ramassa avec sa baguettes pour les poser sur la table a coté. Il en garda un qu’il ouvrit. Un livre de Défense Contre les Force du Mal qu’il ouvrit a la page des vampire. Il pensa un peu a Virgil et l’idée même de le voir sucer son propre sang lui paraissait tout de suite moins sympathique. Il referma le gros volume d’un coup sec et l’envoyer valser sur la pile avec les autres.

« Alors, t’a le droit a quoi cette fois? Des lignes? Des recherches super passionnante sur des sujet qui nous sont plus qu’inutile et qui reste donc super chiant. Ou encore peut être du ménage. Elle va te bouffer a quelle sauce aujourd’hui? En tout cas moi elle m’a pas raté aujourd’hui. Enfin depuis trois jours vus que ça fais trois jours que je suis enfermé dans cette maudite salle a la con… D’ailleurs en parlant de ça, ma liberté m’attends. Je retourne a mon durs labeur! Manque de bol pour elle, j’adore concocter des petite potions donc je prends mon pieds depuis trois jours! »

Il retourna derrière sa table puis vida tous le contenue de son chaudron dans une grande fiole destiné a dans le placard de la Ombrage. Quelle tristesse de laisser pourrir une telle merveille. En plus il y avait mis tout son cœur. Non mais je vous jure. Cette gonzesse avait vraiment pas de cœur. Il sortie de ses pensés et nettoya le reste a l’aide sa baguette. Il ralluma un petit feu, puis finalement ce grilla une petite clope. Bon OK, encore quelques choses qui n’était pas permis mais bon, on s’en fous n’est-ce pas? Il commença a se remettre au boulot. Enfaite il avait beau aimer faire des potions, mais trois jours de suite c’est quand même long. Il soupira furtivement. Il était vraiment crevé pour le coup. Trois jours enfermer dans cette salle. Mais quelle merde. La prochaine fois il ferait en sorte de ne pas ce faire chopper. Il se retourna vers Sorrow pour lui dire discrètement:

« Faut vraiment qu’on fasse quelques choses. Je te jure. Je les supporte plus. Il nous mène une vie mais pouha. Moi ça me gave tu vois! Je te suis pour n’importe quoi là. »

♫ **Smoke** on the water ♪

Tu saiiis, je connais quelqu'un de parfait pour essayer ta potion, pourquoi ne pas demander à Withmore, je suis certain que si je lui lance le défi,elle le relèvera, par contre, je trouve que la réussir n'est pas une bonne idée. Tu vois si on rajoutait quelques petites choses dedans, on pourrait avoir des effets secondaires intéressants, tout noter et voir pour s'en servir contre Ombrage.

Tu sais cassouille, j'ai trouvé un catalogue pour commencer des potions spécifiques et je crois que je vais bientôt passer commander. Ma vengeance ne pourra plus attendre trop longtemps,je la déteste, je vais lui faire payer chèrement de m'avoir gâcher une soirée calin, à croire qu'elle veut gâcher chaque rendez-vous, une frustrée cette bonne femme je te le dis.

Mmm comment nous venger en toute tranquillité sans que personne ne soit au courant, il faut faire attention à ne pas nous faire prendre. Mm, c"'est qu'elle est maligne la dragonne, elle a des espions partout, nous devons nous méfier de tout le monde, et surtout ne pas nous faire remarquer. Mmmm comment faire, réfléchissons