Sujet: Man in the mirror [PV Liam] Mar 12 Jan - 1:46
Octobre, voila bien un mois qui déplaisait à Joachim Simmons, tout était brun, roux et rouge,la nature se mourrait lentement sans retour en arrière. Il se dirigeait en flânant vers Poudlard, cherchant une occupation pour éviter de retomber dans ses pensées les plus intimes, amenant avec elle une légère rougeur sur les joues toujours blanche du poufsouffle. Il avait voulu tout tenter, il avait joué et gagné, il ne savait maintenant ou se diriger, perdus dans des sentiments inconnus de son esprit et coeur. Il doutait sans cesse,pourquoi devoir tester, pourquoi devoir penser, jouer cacher? Il se torturait l'âme cherchant à trouver une issue, une solution à cette situation embrouillée.
L'enfant stoppa devant un tableau, il représentait deux jeunes filles en fleur, elles aussi semblaient perdues. Il passa un doigt sur le bord du tableau
- Jo: Que puis-je faire maintenant hein?
Aucune réponse ne parvint aux oreilles du jaune, il doutait d'ailleurs d'en avoir une un jour. Oui il avait joué, joué avec le feu, tenté, été tenté et il avait succombé au serpent qui l'avait l'espace de quelques instants amené en l'éden. L'enfant était retombé sur terre quelques minutes plus tard, il avait eu froid, s'était senti abandonné et stupide d'avoir donné d'avoir aimé. Finalement avait-il bien fait? Regretter, non pas vraiment, il avait su dès le départ qu'il n'y aurait jamais rien de public, de montré et il s'en serait accomodé, il aurait pris ce qu'on lui aurait donné sans se plaindre mais il n'y avait rien eu.Comment disait Lucen, hein, mon petit frère s'est fait avoir oui il s'était bien fait plumer c'était le cas de le dire et il s'en rendait bien compte. Lui qui avait toujours été une victime privilégiée s'était retrouvé à passer du statut de victime à amant en une minute et demi au maximum. Dans l'esprit du jaune innocent il avait cru qu'il redeviendrait une victime par après, que tout reprendrait le cours normal des choses mais que nenni, plus rien. Un regard, non ca aurait été trop demandé, un sourire encore moi il n'avait rien plus rien et il s'en étonnait même pas, après le grand dialogue de son frère sur comment les grands méchants loups abusent de la candeur des petits jaunes.
Mais lui, lui il avait posé des mots si sincère, peut-être n'était-ce qu'un jeu,après tout une autre et une autre et encore une autre, les bruits couraient vite dans la salle commune des jaunes, Joachim Simmons pouvait faire la fête,les verts ne lui couraient plus après,ah ouais ben c'est pas comme si il avait envie de faire la fête le petiot, il avait plutot envie de mettre un bon coup de poing dans la fourmilière bien rangée de Poudlard. Ah mais quel crétin ce vert, pas un mot, pas un sourire, pas un coup rien de rien de rien, était-il si honteux d'avoir osé toucher un pouffy, pfff crétin crétin crétin, il ne devait pas prendre attention à ce mec stupide borné et merlin diablement sexy. Jo secoua la tête il ne devait pas penser à ca, ses rêves en étaient perturbés, ses élucubrations devaient revenir, il faisait comme si tout était normal pourtant il doutait, il cherchait a évacuer cette rage qu'il accumulait contre Oliver qui semblait avoir disparu de la circulation depuis quinze jours. Lache,oui il était lâche, s'il ne voulait rien de plus il fallait le dire, il n'était plus un gamin il n'était pas une fille il n'aurait pas fondu en larmes, il y a bien longtemps qu'Oliver ne fait plus pleurer la frêle jonquille.
Il avait brisé beaucoup de ses règles pour le vert, il s'en mordrait surement les doigts, mais il ne fallait pas mentir il lui manquait cruellement, il lui manquait les moments ou il n'y avait qu'un regard, certes tueur, mais un regard.?
Etait-il gêné, comment pouvait-il savoir lui la jonquille innocente ce qui pouvait bien se tramer dans le cerveau d'oliver.Il avait voulu aimer un être à part, il se sentait vidé, il dormait, rêvait, cherchait ce foutu serpentard.
Il s'arrêta près d'une fenêtre observant la nature presque morte au dehors, oui il était dans le même état, sauver les apparences, après tout qui se douterait que le jaune déprimant n'était pas un jaune rêvant? qui pourrait se targuer de connaitre suffisamment les méandres de l'âme de Joachim pour voir qu'il n'était plus aussi innocent qu'auparavant? Lawlett peut-être il avait bien tenté de le bousculer pour le faire parler, sans résultat, la jonquille se taisait, il voyait bien qu'il ne comptait pas qu'il ne comptait plus. Au lieu de s'apitoyer sur lui-même il était sorti, il avait joué, rit,ignoré le crétin de vert qui depuis dix jours semblait ne plus le voir. Il lui en voulait de ne pas avoir eu de cran. Sale vert
Il faisait comme si tout était normal.Il avait menti, il aurait aimé qu'on l'aime, encore qu'on pense à lui, qui pensait à lui hein, la jonquille toujours joyeuse et rêveuse. S'il avait été un jaune dépressif, on l'aurait vu remarqué mais non, on pensait que rien n'allait jamais mal dans la vie de Joachim Simmons qu'i lest forcément incapable de ressentir quoi que ce soit autre que du rêve, qu'il ne comprend rien à la vie d'adolescent, qu'il vivra à jamais dans l'utopie de de son monde. A -t-on déjà questionné ce même adolescent, lui demander un sourire, un mot non jamais. Finalement jaune et vert n'"était pas si différent, il n'y avait que lui qui était à part lui et ce maudis sexy gardien qui hantait ses nuits et ses jours, une réminiscence d'un sourire tendre, la voix chaude et douce prononçant un je t'aime, un murmure résonant dans sa tête. Il ne voulait finalement pas qu'on l'aime, il n'avait rien à perdre si ce n'est son âme.
Il passa une main dans ses longues mèches blondes, il faudrait bien qu'il les coupe un jour, il se dirigeait vers un couloirs, oh interdit et alors, il n'était plus à une transgression près, il avait commis aux yeux de sa maison le pire péché, il était tombé amoureux d'un vert et il ne pouvait l'oublier, quoi de pire hein? Au moins il n'avait pas avoué à ce dernier le fond de ses pensées, de ses sentiments, il aurait au moins gardé cela pour lui.
Assis contre une colonne il doutait, pourquoi le vert n'avait-il pas donné signe de vie, avait-il impliciment et sans mot signifié au jaune qu'il n'y aurait pas de suite? Avait-il mal compris les relations entre adolescent? Il ne savait plus, il n'avait jamais réellement jamais su, il faisait face au doute, il regardait ses erreurs, cherchait le problème sans trouver la solution. Il ne trouverait probablement pas de raison au comportement distant du vert, il s'agissait manifestement du seul liam Oliver auquel il aurait encore affaire autant s'y habituer, oui réellement.
Jo, il faut que tu fasses comme si tout était normal, tu ne ressents rien.
Sujet: Re: Man in the mirror [PV Liam] Mar 12 Jan - 16:30
Quinze jours s'étaient écoulés depuis l'étreinte inédite qui avait uni un bourreau à sa victime. Quinze longues journées où Liam Oliver avait espéré retrouver un peu de ses esprits. Après avoir battu, frappé, lacéré Joachim Simmons, il l'avait embrassé, l'avait possédé. En succombant de la sorte au doux chant des sirènes, en se laissant aller à devenir un être humain, il avait cru pouvoir passer à autre chose. Il avait naïvement imaginé qu'il aurait pu retourner à sa routine. Chasser le Jaune. Traquer le Jaune. Coincer le Jaune. Se repaître des larmes et des suppliques du Jaune. Contre toute attente, rien de tout cela ne s'était produit. Aucune paix, aucune sérénité. Liam Oliver avait l'impression de se diluer au fil des jours. Etait-ce la saison, morne et triste, qui le tirait dans les abysses de la mélancolie? Etait-ce une impression où tout paraissait fade? Même s'en prendre à Perséphone Weasley ne s'était pas avéré aussi amusant qu'il ne l'avait envisagé. Devenait-il un pied tendre? Par tous les cercles de l'Enfer, il espérait bien que non. Il avait quitté la salle commune des Serpentards, cette pièce où il avait l'impression d'être un petit prince. Entouré d'une véritable cour, Liam Oliver n'avait rien à envier à personne. Au sein de Poudlard, il était de ceux dont on connaissait le nom. Populaire? Ca dépend de quelle Maison votre point de vue se place. Les Poufsouffles le haïssent cordialement et il le leur a toujours bien rendu. Quelques groupies vertes essayèrent de le retenir, s'accrochant à son bras comme des noyées à une bouée. Liam secoua violemment l'épaule pour les faire lâcher. La mine sombre, le visage impassible, il quitta ses camarades pour s'aventurer dans les couloirs.
Voilà quinze jours qu'il ignorait Joachim Simmons. Ses comparses le lui avaient montré à de nombreuses reprises. "Oliver, v'là Simmons...on le traque?" Liam s'était contenté de nier du chef et de tourner les talons, le dos droit et la démarche raide. Il désignait une nouvelle cibe que ses vipères s'empressèrent de prendre en chasse. Du coin de l'oeil, il distinguait les cheveux blonds, la peau pâle mais il se refusait à tourner la tête, à croiser le regard cristallin de Joachim. Et dire qu'il y a quelques mois, c'était le Jaune qui évitait de la sorte le Vert. Dans la grande salle, le Serpentard s'installait systématiquement dos à la table des Poufsouffles alors qu'auparavant il aimait vriller du regard ces élèves qui s'efforçaient de ne pas croiser ses prunelles glacées. En vérité, Liam Oliver avait peur. Peur de succomber une nouvelle fois. Peur de s'avouer qu'il aimait sa victime. Peur d'être faible et dépendant.
Les choses avaient largement empiré en l'espace de deux semaines. Liam avait de plus en plus de mal à trouver le sommeil. Dans chacun de ses rêves, il rejouait cette scène impensable...les soupirs de Joachim résonnaient encore à ses oreilles, il sentait les mains du Jaune se glisser dans ses cheveux, la peau douce et encore meurtrie par endroits du Poufsouffle qui frémissait sous ses doigts. Il se réveillait toujours en sursaut, les mains plaquées sur ses lèvres priant un quelconque dieu chtonien que personne n'avait pu l'entendre soupirer dans son sommeil. Ce maudit Simmons le hantait, il lui collait à la peau de manière indécente, agaçante, intolérable et rien ne pouvait lui faire oublier le minois angélique de cette créature qui en devenait presque maléfique. S'abandonner dans le Quidditch, pourrir le karma des inquisiteurs avec Sorrow, laisser une groupie l'approcher, hurler dans le Parc sous l'orage...rien, absolument rien ne le soulageait. Mais qu'est-ce-qu'il lui trouvait à ce Joachim Simmons, cette frêle bestiole qu'il avait brisé tant de fois? Il avait envie de l'assommer de coups autant que de caresses. Il voulait lui lacérer le visage autant qu'y déposer ses baisers brutes. Il voulait le mordre, l'étreindre, le griffer, goûter sa peau. Il voulait le voir au sol, soumis, blessé, il lui empoignerait ses maudits cheveux blonds lui tordant le cou pour frôler du bout de la langue les meurtrissures sanglantes qu'il lui laisserait...raaah, il en devenait dingue, mélangeant violence et passion, sang et tendresse, victime toute désignée d'un amour qui l'égarait, le déchirait.
Il s'arrêta net dans sa longue marche silencieuse, au beau milieu du couloir bondé de monde. Les autres élèves l'évitaient soigneusement. Il valait mieux ne pas s'attirer les foudres de Liam Oliver, lui déplaîre ou le déranger. A sa droite comme à sa gauche, les silhouettes en uniforme ne l'effleuraient même pas. Pendant un instant, il semblait au Serpentard que le monde tournait au ralenti. Il fronça les sourcils et reprit sa marche, à contre courant du flot continu d'élèves babillant joyeusement. S'éloigner d'eux, de leurs sourires éclatants, de leur bonne humeur qui ne lui était pas communicative. S'enfouir quelque part dans Poudlard, là où aucun bruit, aucun discours et aucune parole ne viendrait parasiter ses pensées. Dans cette solitude retrouvée, recroquevillé dans l'obscurité, loin des regards, il pourrait laisser le flot de ses souvenir l'envahir. A droite, à gauche, encore à droite après le tableau des centaures. Un long couloir s'enfonçait dans l'obscurité. Personne ne s'y aventurait. Des rumeurs folles circulaient à propos de cet endroit. On y aurait oublié une terrible créature, un animal féroce qui pouvait vous arracher la tête d'un coup de dent. Liam ne s'y était jamais vraiment engagé. On a beau être cinglé, on est pas suicidaire pour autant. Prenant une profonde inspiration, il avança un pied, puis un autre et sans qu'il ne s'en rendre pleinement compte, le voilà qui s'aventurait dans cet endroit interdit. Il risquerait bien plus qu'une retenue si on le surprenait ici. Les sens en alerte, les jambes prêtes à prendre la tangente, il s'arrêta net...un bruit. Là. A quelques mètres. Liam déglutit péniblement et plissa les paupières. Deux jambes dépassaient d'une colonne. Ses lèvres s'entrouvirent en une expression d'étonnement, son regard se troubla quelques brefs instants en reconnaissant ces chaussures non lacées.
Simmons...
A chaque fois qu'il essayait d'oublier ce diabolique Poufsouffle, à chaque fois qu'il s'efforçait de l'ignorer, le Destin les confrontrait systématiquement en un tête à tête loin de tout. Liam se mordit la lèvre inférieure tandis qu'une drôle d'euphorie lui serrait le coeur et une pure envie de sang crispait ses poings. Un sourire étira ses lèvres. C'est donc cela, la créature dangereuse du couloir interdit? Mais l'expression disparut rapidement de son visage. Comment réagir? Débouler de nulle part et faire comme si tout était normal? Lui sauter dessus et laisser libre court à sa rage? Lui sauter dessus et laisser libre court à sa passion? L'ignorer et continuer à avancer dans ce couloir de mauvaise réputation? Devait-il s'amender, s'excuser, rester silencieux et attendre que Simmons entame la conversation? La dernière fois qu'ils s'étaient quitté, il l'avait lâchement abandonné. La séparation avait été froide et détachée. Ne pas devenir dépendant d'une personne...mais il l'était déjà ! Liam avança silencieusement jusqu'à la colonne, derrière laquelle il se cacha au regard de Joachim. Surgissant tel un diable de sa boîte, il attrapa le Poufsouffle par le devant de sa robe de sa sorcier et le souleva sans aucune réelle difficulté du sol. Le visage fermé, il plongea son regard dans celui du Jaune et alors que ce dernier allait ouvrir la bouche pour proférer Dieu seul sait quoi, il le fit taire d'un brusque baiser, glissant et crispant ses doigts dans les mèches dorées, cherchant à faire avorter toute tentative de reproche ou de révolte.
Sujet: Re: Man in the mirror [PV Liam] Jeu 14 Jan - 0:57
Une bonne demi heure qu'il était assis là à se poser mille question, hurlant mentalement des inepties et rêvant à moitié une histoire de cape et d'épée, perdu dans ses pensées s'emmelant. Il somnolait à moitié, trop de nuit qu'il ne trouvait pas le sommeil ou se réveillant en sursaut après un rêve troublant. De petites cernes violettes tronaient sous les yeux de la jonquille rappelant étrangement un lawlett en pleine forme c'était dire. L'enfant était paumé dans des idées et des sentiments d'adolescent alors que son esprit. Il ne savait réellement que penser de cette situation, s'il devait de lui-même y mettre un terme ou pas.Il était amoureux, il n'en doutait pas mais la balance penchait considérablement depuis trente minutes vers un abandonne tout et oublie. Il posa sa tête contre la pierre froide et rugueuse, oui décidément il ne savait plus sa raison lui dictait un choix, son coeur un autre, que faire mais que faire, raaah il aurait bien besoin de son ainé pour lui expliquer les choses de la vie comme il disait. Franchement à qui pourrait-il demander, poser ce genre de question? Il n'était pas spécialement honni ou populaire à Poudlard, il était une simple chose curieuse dont chacun se moquait régulièrement.
Des pas dans le couloir, il avait choisi ce couloir interdit pour avoir un semblant de paix et de réflexion loin de sa salle commune ou des adolescents pleins d'hormones se chargeaient de lui rappeler qu'excepté pour lui, les affres de l'adolescence passaient par l'adrénaline et la sexualité. Non lui ne souhaitait que rêver et continuer, ah oui et aussi non ca c'était définitivement peu permis. L'enfant était différent et ne s'en cachait pas. Les pas se rapprochaient, avec sa chance légendaire il allait avoir une groupie ou un serpentard cherchant un jaune à martyriser hein. L'enfant ferma les yeux quelques instants, il valait mieux faire semblant de pioncer, il aurait peut-être la paix. Pfff que faire.Il en était la dans ses pensées quand il se sentit soudainement soulevé de terre.
mais qu'est ce que pensa-t-il avant de rencontrer des yeux gris verts, magnifiques, en colère,pleins de haine. Liam Oliver, merlin pourquoi dans une école remplie d'élèves fallait-il précisément que celui qui le dérange soit sa némésis? Il allait lui demander de le lacher quand l'infâme posa ses lèvres brutalement sur les siennes lui volant un baiser plutot brutal. L'enfant se crispa, appréciant les lèvres un peu seches du vert sur les siennes avant de se rappeler qu'il venait de prendre une décision capitale pour sa santé mentale. Il gigota, rompit le baiser et lança ses jambes dans les genoux du serpentard. Retombant lourdement au sol l'enfant recula, assis au sol avant de se relever, la main dans la poche prêt à sortir sa baguette. Oh oui l'enfant, que dis-je l'adolescent était perturbé et en colère. Après quinze jours d'ignorance sans un mot un geste ce satané vert osait l'embrasser mais qu'il aille se faire voir chez Morganne la fée s'il le voulait, on n'ignore pas Simmons ainsi, surtout pas après une soirée comme celle-là. [/i]
-Joachim: Non mais tu te crois ou la Oliver au printemps des poètes, dégages tes mains de ma petite personne
Il avait craché ses mots sur un ton qu'il ne se connaissait pas. Son coeur cognait contre sa poitrine, trop vite, les joues rouges et les yeux brilants de colère et de tristesse, il n'était pas une jonquille qu'on prenait et jetait après utilisation, non hors de question qu'il aille se faire voir ce vert sexy[/i]
- Joachim: tu te souviens de moi maintenant Oliver, quoi tes nouvelles groupies ne te donnent pas assez de calins et tu t'es dis que tu allais venir m'en voler un et me jeter après? Tsss même pas en rêve crétin congénital.
[i]L'enfant ramassa ses affaires en hate, fourrant ses livres dans sa sacoche et réajustant sa robe de sorcier il fit demi tour et s'enfonça plus profondément dans le couloir, il s'enfonça dans l'obscurité, la tristesse lui pesant sur les épaules, les mots avaient dépassés sa pensée, il ne pouvait les retirer. Il s'appuya contre une colonne,cherchant à regagner un peu de calme, il ne pouvait pas partir comme ça hein, il avait eu du mal à le domestiquer son vert, et il avait encore du travail à faire. Merlin il avait vraiment dit ces horreurs? L'enfant lacha ses cachiers et son sac et fit marche arrière, courant aussi vite que ses petites jambes le pouvaient. Il ne devait pas s'être écoulé plus de deux minutes depuis son éclat. Le vert était là encore, après tout il devait quand même être surpris d'un tel éclat de la part d'un gamin stupide.Pris de remords l'enfant s'arrêta devant le vert, tirant sur la cravatte il approcha la tête du serpentard si sexy de la sienne, déposant un baiser tendre sur les lèvres de son vis à vis et se blotissant contre lui.
Que dire de plus, que faire de plus, il avait agit sur un coup de tête, il ne regrettait pas ses paroles, il les pensait vraiment il avait eu mal, si mal de se voir ignorer si rapidement, abandonné après quelques esquisses de relations.Il se blottit contre le serpentard, cherchant un peu de chaleur, il allait devoir payer le prix de son éclat, il le savait, il en avait toujours été ainsi et il en serait toujours ainsi tant qu'il resterait dans le sillage de Liam Oliver
- Joachim: Si tu m'ignores encore Oliver je te jure que je te le ferai payer. Quinze jours que tu m'ignores, m'oublie, m'envoie valser et que tu fricottes avec tout ce qui porte une jupe. Tu veux ma mort?
Sujet: Re: Man in the mirror [PV Liam] Ven 15 Jan - 15:37
Le petit Jaune qu'il détestait tellement que tout Poudlard était au courant, cette frêle petite bestiole blonde qu'il martyrisait depuis maintenant près de cinq années, ce Joachim Simmons qu'il avait traqué avec sa bande de vipères persifleuses et violente, ce même élève qu'il faisait pleurer en le rouant de coups, cette créature fragile qui avait toujours subi eut une des réactions les plus surprenantes qu'il ai été donné à Liam de voir. Certes, Simmons avait déjà essayé de le frapper et le Serpentard s'était laissé faire. Mais là...il n'avait pas prévu la chose. La Jonquille le percuta sous les genoux et glissa au sol. Autre réaction surprenante, il glissa aussitôt sa main dans sa poche tout en s'éloignant de lui prêt à dégainer sa baguette. Liam Oliver avait-il déteint sur sa Némésis? C'était assez effarant de voir sa victime adopter les attitudes et réactions quasi instinctives de son bourreau. Liam haussa un sourcil, réellement surpris par ce que son Jaune était en train de lui servir. Non mais tu te crois ou la Oliver au printemps des poètes, dégages tes mains de ma petite personne Cette voix qui avait jailli de la gorge de Joachim trouvait un singulier écho de familiarité à l'oreille du Serpentard. C'était pratiquement son intonation que le Poufsouffle empruntait. Tandis que le Jaune ramassait en hâte ses affaires, le sjoues rouges et le regard brillant de colère, il continuait à l'invectiver. Cela aurait presque pu avoir un certain aspect si les mots "crétin" et "congénital" n'avaient pas fusé. On avait beau subir les affres d'un conscience qui s'éveillait, on avait beau ressentir les tressaillements d'un moralité qui sort de sa torpeur, il y a des choses qui ne passeront toujours pas. On pouvait lui hurler dessus (de toutes façons, les cris il avait l'habitude), on pouvait essayer de le frapper (ils étaient rares ceux à pouvoir le toucher), on ne l'insultait pas. Le Jaune prit aussitôt ses jambes à son cou, filant sous le nez du Serpentard dont le poing se referma sur du vide. Baissant la tête mais gardant le regard rivé sur cette silhouette qui s'enfonçait dans les ténèbres, les traits de Liam se crispèrent. C'est donc ça que tu veux Simmons? Qu'on en revienne aux bonnes vieilles habitudes? Tu dois vraiment être suicidaire. Ou complètement taré. Il n'y a pas d'autres solutions. Ruminant, fulminant de rage, la température intérieure approchant celle du métal en fusion, la colère de Liam retrouvait ses marques et reprenait possession de son hôte. La démarche raide causé par un certain engourdissement sous les genoux, le Vert et Argent se mit à repartir sur ses pas. Connaissant Simmons, il avait dû s'arrêter quelque part. Il le trouverait et puisque Môssieur voulait en revenir là, il le cognerait. Et puis voilà! les choses seraient bien plus simple. Il foutrait la paix à Bradindon et Simmon récupérera sa place de martyr qu'il semblait tant chérir.
Le son d'une course précipitée se dirigea vers lui. Le visage fermé, Liam stoppa sa progression sachant d'avance qui allait débouler dans le couloir. Joachim s'arrêta juste devant lui. Il devait être encore plus stupide qu'un troll pour se jeter ainsi devant son bourreau, déjà les poings du Serpentard se serraient prêts à frapper. La main du Jaune attrapa sa cravate et le tira vers le bas. Le baiser chaste qu'il déposa sur ses lèvres décrispa ses poings. Les bras que le Poufsouffle glissa autour de sa taille fit reculer sa colère. La tête de Joachim niché contre sa poitrine annihila sa rage. Si tu m'ignores encore Oliver je te jure que je te le ferai payer. Quinze jours que tu m'ignores, m'oublie, m'envoie valser et que tu fricottes avec tout ce qui porte une jupe. Tu veux ma mort? D'un côté, oui...ce serait la solution de facilité. Une forme de sérénité et de paix de l'âme car Joachim Simmons était bel et bien l'élément perturbateur de sa vie qui avait été, jusqu'au brusque changement d'intérêt qu'il lui portait, une véritable sinécure...du moins à Poudlard. Mais d'un autre côté, si Simmons disparaissait que deviendrait-il? Il resterait toujours et à tout jamais un monstre de violence, incontrôlable et incontrôlé. Le Poufsouffle se blottit plus étroitement contre lui. Le regard clair de Liam se baissa sur cette tête blonde aux mèches trop longues posée contre sa poitrine. merlin que me fais-tu? La question aurait pu être posée dans l'autre sens. Le Serpentard leva les bras et entoura les épaules de Simmons, posant sa joue contre le sommet du crâne de son petit Poufsouffle. Et lui, que devait-il dire?
" Je te renvoie la question, Simmons. " Il lâcha un instant le Jaune pour lui relever la tête et plonger son regard si dur dans celui plein de rêves de Joachim. Oliver poussa un léger soupir. Glissant une main sur la nuque du blondinet, il la serra légèrement entre ses doigts. " J'ai autant envie de te faire mal... " Il libéra la nuque et de la même mains effleura le joue veloutée et les lèvres douces du Jaune, murmurant à voix basse. " ...que d'être tendre avec toi. " Comment un fauve pouvait-il se faire agneau? Liam baissa la tête et enfouit son visage dans le cou du Poufsouffle y retrouvant cette odeur d'innocence qui le rendait dingue. Il embrassa cette peau offerte et attira contre lui son petit Jaune. Aucune des filles qu'il avait laissé l'approcher ces quinze derniers jours ne l'avait fait frémir comme son ancienne victime le faisait. Sa main glissa jusqu'au creux des reins de la jonquille, ses lèvres s'emparèrent de celles de Joachim. Mais comment faisait ce petit diable blond pour l'embraser aussi rapidement? Comment?!
Sujet: Re: Man in the mirror [PV Liam] Dim 17 Jan - 2:54
L'enfant devait le dire, il tremblotait dans les bras du serpentard. De l'appréhension, un peu d'excitation et beaucoup trop d'émotions pour son coeur de petit jaune.Calé dans les bras de Liam il se sentait bien, enfin vivant depuis quinze jours. Son enfer ne serait pas fini pour autant, il savait pertinemment qu'il avait mis le gardien en colère, le moindre de ses mots arrivait toujours à le blesser sans qu'il ne le veuille. Il était étonnant qu'il ne se soit pas pris une bonne droite comme toujours. Ses pensées tournaient dans sa tête, cherchant une échappatoire,il l'aimait il ne le cacherait pas mais il l'exécrait en même temps cet être qui l'avait détruit, avilit frappé pendant près de quatre années. Il se demandait encore pourquoi, oui pourquoi de toutes les personnes qui l'avaient approché avait-il fallu qu'il tombe amoureux du seul avec qui il ne pourrait jamais s'afficher en public, avec qui les démonstrations d'affection devenait aussi dangereuse qu'"un chat se promenant sous le nez d'un chien. L'enfant était perdu.
" Je te renvoie la question, Simmons. " Oui effectivement qui aurait pu croire que ces némésis finiraient dans cette situation, alliant coups et caresses? Il n'en savait pas plus que Liam, il se contentait d'essayer de démêler les fils enserrant son coeur et le meurtrissant chaque jour un peu plus. Pour la première fois de sa vie l'enfant avait été jaloux, jaloux de ses filles approchant son serpentard. Son, oui Jo était possessif pour la première fois de sa vie également, lui l'enfant de moldus qui partageait toujours tout refusait de laisser un ou une autre que lui poser ses mains sur le gardien des verts et argents. Il avait supporté les coups, les insultes, il avait du mettre nombre de fois son égo en veilleuse et supporté humiliation sur humiliation pour arriver à apercevoir une lueur d'humanité chez son ennemi,il ne laisserait personne passer par l'interstice,non Liam n'était qu'à lui et seulement à lui.
J'ai autant envie de te faire mal... " Oh ca il s'en doutait, il lui pinçait la joue, une caresse par rapport aux coups qu'il avait déjà reçu. Il savait aussi que Liam trouvait un exutoire à ses coups, à le blesser lui. Si au début la raison en avait été obscure, les étranges conversations avec Lawlett avaient porté leur fruit, Liam le détestait parcequ'il était son opposé, un garçon un peu trop rêveur et innocent, doux et gentil. Jo n'était pas gentil de nature, il pensait seulement que détester les gens prenait trop de temps et qu'il ne pourrait plus rêver tandis qu'il passerait sa vie à se venger. Bien que non studieux, il avait toujours réfléchi à l'inverse du commun des mortels. Il n'avait pas besoin d'ami, les amis cela n'existait pas, il n'avait pas besoin d'amour, c'était seulement pour les belles filles et il s'en accommodait très bien.Mais ce diable de vert avait tout chamboulé avec ses mains baladeuses, ses sourires aguicheurs teintés de sadisme, il n'avait pu résister bien longtemps, il avait succombé au diable, il serait damné pour la vie, mais ma foi si l'enfer ressemble à Liam Oliver, il vaut mieux que le paradis non?
..que d'être tendre avec toi. " Ah Oliver, lui aussi était tombé dans ce piège, ce dilemne ou on ne savait choisir qu'entre une haine facile à gérer et acceptée de tous ou un dangereux jeu de séduction et de tendresse mêlée d'un soupçon d'amour.Chacun y serait blessé, aussi bien le gardien des verts que le jaune. Qui penserait trouver au plein milieu d'un couloir sombre, Oliver et Simmons enlacé, l'un enfouissant son visage dans la poitrine du premier, l'autre posant sa joue contre la tête de l'autre dans une étreinte douce et tendre.Personne, personne n' irait jamais imaginer que l'éternelle victime entêtée serait tombée dans les bras du bourreau.
Et pourtant l'enfant savait qu'il ne choisirait pas le retour en arrière, il avait gouté au Liam tendre, au liam humain et il ne pourrait s'en passer et revenir à la brute épaisse qu'il connaissait, il voulait plus, il le voulait à lui exclusivement. Le visage de Liam enfouit dans son cou lui donnait des frissons qui couraient le long de sa colonne vertébrale, le plongeant dans une délicieuse euphorie comme un seul petit geste de ce garçon pouvait-il le mettre dans un état pareil, un simple baiser une caresse le mettait en émoi. Une simple étreinte resserrée, il pouvait sentir la menthe, cette odeur qui en une seconde lui permettait de savoir qu'Oliver étaut dans les parages, une odeur qu'il affectionnait particulièrement. Il semblait que le serpent soit d'humeur caline ce soir là aussi, sa main se baladant allègrement dans son dos jusqu'à trouver refuge au creux de ses reins,la bouche de son propriétaire prenant possession de la sienne.Un baiser impétueux comme toujours teinté d'un peu de tendresse inhabituelle chez le serpentard. L'enfant se laissa une nouvelle fois faire, répondant au baiser avec toute l'ardeur qu'il possédait, remontant ses mains dans le dos du gardien, appréciant le creux dans le bas de son dos, quittant la taille pour remonter vers les omoplates qu'il n'atteindrait jamais, trop petit poury arriver. Il se serra un peu plus contre l'ainé, se séparant à regret du plus vieux pour reprendre un peu d'air, il fallait bien respirer.
Les lèvres brillantes,les yeux perdus, une douce couleur rosée teintant ses joues, il était le diable en personne ce vert. Jo: Oliver tu es le diable en personne.
Il caressait le dos de sa némésis, réfléchissant, il ne savait que répondre au serpentard, il n'avait pas la solution, il était lui-même dans l'attente d'une explication.
Jo: Je ne sais pas pourquoi on a besoin de se frapper dessus avant de s'embrasser, je n'ai pas la solution et au fond je m'en fiche un peu je
Comment exprimer les entrelacs de ses pensées? Comment dire tout haut les méandres de sa conscience Jo: J'ai juste une question, comment fais-tu pour toujours me trouver dans un endroit improbable quand je me cache pour réfléchir? Comment fais-tu mon sournois serpent?
L'enfant pouffa, bah dédramatisons un peu,il n'était pas à l'article de la mort, pourquoi devaient-ils être si solennel. Calmé, il se blottit à nouveau contre contre son quoi d'ailleurs, qu'était-il un ennemi, un petit ami, une relation cachée, un souffre-douleur reconverti en doudou pour quelques temps, il n'en savait rien
Jo: Avant j'étais ta victime favorite, et maintenant que suis-je Liam?
Sujet: Re: Man in the mirror [PV Liam] Ven 22 Jan - 20:41
Liam s'était toujours réjoui de voir ses victimes trembler. Il suffisait que ses prunelles pâles se posent sur ses têtes de Turcs préférés pour distinguer sur leurs traits l'appréhension. Il suffisait de regarder leurs mains pour les voir frémir. Bien souvent, ces élèves courbaient la nuque et essayaient de se faire oublier rapidement soit en semblant soudain victime d'un sort de rapetissement qui les faisait se dissimuler derrière certains de leurs amis, soit en se volatilisant à grandes enjambées mais sans courir pour ne pas attiser les instincts violents du Serpentard. Les tremblements qui agitaient Joachim Simmons lorsqu'il le dominait de toute sa taille, un rictus mauvais aux lèvres, avaient été les plus délicieux de sa scolarité. Mais ceux qu'il faisait naître alors, dans le corps frêle de sa Jonquille, étaient bien meilleurs. Il est si facile de victimiser quelqu'un...si aisé de se faire haïr, de terroriser, de torturer. Mais se faire aimer, faire frémir l'autre sous des mains qui ne désirent pas que violence brute et coups assommants ; tant d'adolescents cherchaient désespérément ces sensations sans jamais les trouver ou en les découvrant bien tardivement. Joachim glissa ses mains dans son dos, remontant aussi haut que le lui permettait sa taille bien plus menue que le monolithique gardien des Serpentards. Il se lova contre lui, insolite geste qui donnait l'impression de chercher une forme de protection dans ces bras qui n'avaient que le blesser jusqu'à ces dernières semaines. Le Poufsouffle s'éloigna à regrets de lui et leva son si adorable et détestable minois d'angelot innocent. Liam avait envie de meurtrir ces lèvres, de les malmener pour en éprouver la douceur. Il pouvait se perdre dans ces iris clairs, y voir amour et attirance comme désirer y lire l'appréhension et la terreur. Joachim était tellement "simple"...aucune duplicité en lui, que de la sincérité, une sincérité pure que Liam voulait autant préserver que souiller.
Oliver tu es le diable en personne. Oh, il ne fait aucun doute que le Serpentard devait avoir certaines accointances avec les Enfers. Instable et introverti, à la fois faible et fort, Liam Oliver était un mélange, une potion, un élixir à manier avec beaucoup de précautions. Le moindre heurt, la moindre parole pouvait le faire exploser sans aucune mesure ou conscience des conséquences. Fermant les yeux, il savoura la caresses légère des mains fines de Joachim dans son dos. Il était un damné qui pourrait se vendre une seconde fois pour ce genre d'attentions aussi gênantes que délicieuses. Je ne sais pas pourquoi on a besoin de se frapper dessus avant de s'embrasser, je n'ai pas la solution et au fond je m'en fiche un peu je Liam également n'avait pas de solution. La situation était aussi nouvelle que complexe pour lui. Il avançait en aveugle, Dieu seul sait où, hésitant à chaque pas fait avec Simmons, condamnant d'avance cette relation qui, à ses yeux, ne pourrait jamais vivre au grand jour. Ils devraient toujours se voir dans l'obscurité, se surprendre au détour d'un couloir. Il y avait toujours ce risque qu'il succombe à sa rage et à sa colère même si le Poufsouffle semblait parfois l'apaiser. Liam plissa les lèvres et baissa la tête, rivant son regard au sol, écoutant sa Jonquille. J'ai juste une question, comment fais-tu pour toujours me trouver dans un endroit improbable quand je me cache pour réfléchir? Comment fais-tu mon sournois serpent? Un demi-sourire releva une commissure de ses lèvres. Tu es toujours sur mon chemin, Simmons. Et je sais où te trouver. Je suis habitué à te chercher. Le Poufsouffle se blottit de nouveau contre lui et le coeur du Serpentard fit un bond lorsqu'il sentit la chaleur du corps délicat du Jaune contre lui. La petite voix de Joachim s'éleva de nouveau. Avant j'étais ta victime favorite, et maintenant que suis-je Liam? (mon bourreau?)
A un moment ou à un autre, cette question allait être posée. Et il savait que ce serait le Jaune qui la prononcerait. Il n'avait pas vraiment réfléchi à ce qu'il répondrait si le cas se présentait. Il s'en maudit intérieurement. Il n'avait ni le temps ni l'envie de préparer un discours qui embobinerait rapidement son interlocuteur. Raaah, ce maudit Joachim avait le chic pour l'égarer et le mettre systématiquement face à lui-même. Liam se mordilla la lèvre, réfléchissant à toute allure. Simmons n'était plus une victime à proprement parler. Il ne pouvait plus le battre comme plâtre comme il le faisait auparavant. Il s'en voulait aussitôt et le coeur lui remontait au bord des lèvres...pourtant, il ne pouvait pas toujours contenir cette violence qui l'habitait et qui se manifestait par des réactions et des gestes un peu "brusques". Une sorte de sadisme libidineux. Qu'étaient-ils l'un pour l'autre? Quelle importance avait Joachim Simmons dans sa vie? Lorsqu'il ne voyait pas, il était presque hanté par sa présence. S'il l'ignorait, son regard azur le réveillait au beau milieu de la nuit.
Liam glissa lentement ses doigts dans les cheveux dorés de la Jonquille. Tu n'es plus ma...victime favorite. Il lui releva doucement la tête pour croiser ces terribles iris bleus qui semblaient ne rien attendre et tout espérer. Je n'ai pas envie de donner un nom défini à cette situation bizarre, j'aurais l'impression de l'inclure dans le réel et ma réalité n'est pas joyeuse. Il déposa un furtif baiser sur les lèvres douces de Joachim, sur ses joues, au creux de son cou, avant de poursuivre à voix basse. J'ai...besoin de toi, Joachim. Je ne serais jamais un ange ou quelqu'un de bon, mais tu y crois. Tout en tenant serré contre lui le Poufsouffle, le Serpentard avança jusque dans l'ombre d'une alcôve du couloir. Sa langue glissa lentement le long du cou du Jaune tandis que ses doigts ôtait les premiers boutons de la chemise du Jaune. Ses baisers descendirent encore, effleurant, mordant cette épaule qui se révélait peu à peu. Son Poufsouffle. Il ne supporterait pas qu'une autre bouche se pose de la sorte sur cette peau, que d'autres mains le caressent de la sorte. Joachim Simmons, martyr déchu, n'avait jamais été aussi "chasse gardée" qu'à présent.
Sujet: Re: Man in the mirror [PV Liam] Lun 25 Jan - 2:14
Lové contre le serpentard, Joachim Simmons dit la jonquille écoutait les battements du coeur du gardien des verts il se sentait bien très bien un peu fébrile mais bien. Il ne regrettait pas les coups loin de là quoique l'adrénaline qui en résultait était grisante. Il se laissa bercer par ce son sans en demander davantage.
Tu es toujours sur mon chemin, Simmons. Et je sais où te trouver. Je suis habitué à te chercher. Alors il le cherchait hein, grisant oui grisant d'être la victime principale du sexy serpentard. merlin, il n'avait pas osé penser ces mots?Mais si mais si, la gentille jonquille se transformait lentement en un blaireau déchainé assoiffé d'hormones. Arf arf arf qu'allait-il devenir hein? Aucune réponse à sa question ne venait, il se demandait si le serpentard y répondrait d'ailleurs c'était une bien étrange question. Il se laissa aller sans réfléchir, on verrait bien la suite à quoi bon se prendre la tête à l'avance non? Les doigts de Liam fourragèrent dans les mèches blondes, les cheveux en pétard de Jo n'en seraient que plus décoiffés, mais il aimait ses caresses, il en aurait ronronné s'il ne s"était pas retenu. Il ferma à demi les paupières de contentement.
Tu n'es plus ma...victime favorite. QUOI! comment ça plus la victime favorite, il avait trouvé une autre victime un nouveau jaune à martyriser à sa place non impossible, il n'était pas d'accord avec cet état de fait. Il ouvrit les yeux de mécontentement, non mais ho hors de question! n'ai pas envie de donner un nom défini à cette situation bizarre, j'aurais l'impression de l'inclure dans le réel et ma réalité n'est pas joyeuse. Situation bizzare ca c'est clair, mais elle était pourtant réelle non si liam se mettait à croire aux réalités éveillées ou allait-on mais s'il ne voulait pas qu'on en parle il n'en parlerait pas c"était aussi simple que cela. Quelques baisers furtifs déposés et voila que le jaune ronronnait à nouveau, c'est qu'il était doué le vert pour se faire pardonner les mots déplacés et les phrases qui mettaient Jo en colère aussi sec.J'ai...besoin de toi, Joachim. Je ne serais jamais un ange ou quelqu'un de bon, mais tu y crois. Bien sur qu'il y croyait. Contrairement au très controversé Oliver, Joachim trouvait qu'il y avait du bon dans chaque personne et que pour certains il fallait creuser un peu plus. Jo avait creusé pendant quatre ans l'écorce du vert et il savait qu'il avait un peu de tendresse au fond du gardien de serpentard et il continuerait à y croire. Quelques caresses douces, voila il le savait bien qu'il y avait de la tendresse chez Liam Oliver,il ne se trompait jamais, mais ho là c'est qu'il est plein de fougue notre vert, Jo était de nouveau dans la pénombre avec un serpy bien entreprenant. Un léger frisson le parcourut lorsque la coquine rose nommée langue de notre ami oliver vint caresser le cou du jaune frémissant. Merlin comment pouvait-il résister à pareil traitement. Il laissa sa tête rouler vers l'arrière appréciant la douceur de son vis-à-vis. Mais les menottes du vert câlines s'évertuaient déjà à défaire quelques boutons de sa chemise, par morganne il espérait repartir avec tous ses boutons cette fois-ci leur dernière entrevue avait fini par un joachim devant rentrer en caleçon vu que le pauvre pantalon ne possédait plus de boutons. Malheureusement pour lui un certain concierge passait par là et trouvant que son caleçon était trop poussiéreux pensa qu'il était temps de lui donner un bon coup de lavage. Le jaune s'était enfui en courant hurlant un help bien senti. Mais revenons aux mimines un peu trop coquines, donnant quelques appréhensions au Jaune. C'est qu'il était entreprenant son vert. Jo se laissa faire une nouvelle fois, à quoi bon résister au diable réincarné? Son épaule fut happée, mordue par un gardien bien débridé. Un soupir lui échappa, merlin il ne pourrait résister longtemps.
Merlin Oliver tu es vraiment le seul à me faire perdre mes moyens
L'enfant se serra un peu plus contre le vert. Que dire de plus si ce n'est un continue ou un encore, mais il ne le prononcerait pas, un peu de fierté que diable, il avait beau être raide dingue du vert, il lui restait un petit peu de réserve joachimienne a épuiser.Il attrapa la cravate du vert, amenant son visage un peu plus près du sien, le sourire aux lèvres. Et bien mon petit Liam tu es entreprenant, mais pitié, attention à mes boutons, la dernière fois j'ai été poursuivi par un concierge qui voulait me nettoyer de ma poussière et de mon caleçon, je tiens à ne pas revivre cet épique aventure d'horreur si tu veux bien.
Il déposa un rapide baiser sur les lèvres du vert avant de se blottir à nouveau contre lui, Liam n'avait qu'à entreprendre, c'était toujours lui l'innocente petite jonquille qui devait entamer les hostilités, pour une fois il pouvait bien être passif non. Quoique....après tout pourquoi pas? Aphrodite avait du passer par ce couloir ce soir pour dépraver un petit jaune innocent non? L'enfant sourit étrangement, se demandant comment déstabiliser le plus vieux, difficile de le dire, il n'y connaissait rien. L'enfant promena ses mains désœuvrées dans le dos du gardien, appréciant le creu des reins et les muscles fermes. Il n'y avait pas à dire, le quidditch avait des avantages. Mais la timidité du jaune l'empêcha d'aller plus loin. on ne peut pas être parfait!
Sujet: Re: Man in the mirror [PV Liam] Mar 23 Fév - 14:07
HRP : Remets-moi ça où c'était Byou-Byou !
Sous ses mains, sous ses caresses, Joachim se laissait doucement aller. Quelle situation paradoxale, le Poufsouffle s'abandonnait totalement à ces doigts qui avaient été plus fréquemment serrés en un cruel poing qui le frappait si durement. Renversant la tête en arrière, il offrait son cou, sa peau aux lèvres gourmandes de Liam. Un souffle agita les cheveux sombres du Serpentard, un soupir lâché de la bouche entrouverte du Poufsouffle, quelques paroles murmurées d'une voix tremblante.
Merlin Oliver tu es vraiment le seul à me faire perdre mes moyens. Un sourire étira les lèvres sèches du Vert et Argent. Il appréciait cette exclusivité, il aimait cette totale emprise qu'il exerçait sur son Joachim. Il ne sera jamais un ange, ses sentiments n'auront jamais la pureté et l'innocence de ceux du Poufsouffle. Il y aura toujours un besoin de domination chez le Serpent et pourtant...en cet instant, il avait presque l'impression que des chaînes invisibles jaillissaient du corps si frêle de la Jonquille pour s'enrouler autour de lui, le retenir. Comme pour porter crédit à cette sensation, le Jaune se serra plus étroitement contre lui, gardant derrière la barrière de ces lèvres de douces suppliques et des envies d'encore. La main du Poufsouffle s'éleva et ses doigts fins se refermèrent sur la cravate verte et argentée. Liam releva le visage, quittant à regrets la tendre tiédeur du cou et de la peau de son Jaune. Les prunelles brillantes d'une lueur intense et bien rare dans ces océans cristallins et innocents qui étaient les siens, Joachim reprit la parole.
Et bien mon petit Liam tu es entreprenant, mais pitié, attention à mes boutons, la dernière fois j'ai été poursuivi par un concierge qui voulait me nettoyer de ma poussière et de mon caleçon, je tiens à ne pas revivre cet épique aventure d'horreur si tu veux bien. Tirant fermement sur sa cravate, le minuscule Jaune lui fit ployer la nuque, amenant son visage plus près du sien. Furtivement, bien trop rapidement au goût de Liam, un furtif baiser effleura ses lèvres, aussi léger que le battement d'aile délicat d'un insecte éphémère. Glissant ses mains le long des hanches du Gardien de Quidditch, Simmons se lova de nouveau contre le Serpentard, frêle silhouette contre le corps musculeux. Les doigts innocents de Joachim parcouraient son dos, s'attardant au creux de ses reins, descendant lentement jusqu'aux limites textiles de l'uniforme. Un soupir s'échappa des lèvres rudes de Liam. Il avait déjà possédé ces formes encore enfantines et l'envie, le désir de recommencer, de faire découvrir à sa victime d'autres plaisirs embrasa son corps. Le feu se déclenchait sous les mains du Poufsouffle, faisant naître ça et là de petits foyers qui ne demandaient qu'à consumer entièrement la Vipère.
Le Sournois Vert et Argent poursuivit son œuvre, dévoilant encore et encore le torse de sa proie, révélant toujours plus de chair tentante qu'il avait meurtrie et marquée tant de fois par haine et rancœur. Ses lèvres accompagnèrent son effeuillage, parsemant la peau chaude de Joachim de baisers rudes, ses mains inquisitrices effleuraient presque délicatement du bout des doigts ses flancs offrant un contraste étonnant et étrange avec le caractère brute des lèvres de Liam. Sans aucune difficulté, il déboucla la ceinture qui fermait le pantalon de Joachim, ôta le bouton de ce dernier, fit glisser le zip de la fermeture éclair. Le Serpentard leva les yeux sur le visage de Simmons. Les joues rondes de ce dernier se teintaient de pourpre, une marque de dents gonflait sa lèvre inférieure. Liam se redressa lentement, gardant les mains de part et d'autre du pantalon désormais ouvert du Poufsouffle. Un sourire presque vicieux éclairait le visage de marbre du Serpent. Dépassant de toute sa hauteur le frêle Jaune, le regard rivé à celui de ce dernier, il laissa quelques battements de coeur passer. S'il faisait perdre tous ses moyens au poufsouffle que dire de lui? Pendant ces brefs instants de répit, il goûta aux flammes du désir, réfrénant ce dernier, retenant ses pulsions qui emballaient son coeur, accéléraient sa respiration, faisaient presque trembler ses mains d'impatience. Une de ses mains lâcha prise sur le pantalon du Poufsouffle, se posa sur le ventre plat qui se creusait instinctivement sous sa caresse. Reprenant fougueusement et passionnément possession des lèvres douces et sucrées de Joachim, il laissa ses doigts glisser sous le nombril de ce dernier, s'aventurer sous l'ultime couche textile qui les séparait, commencer à cajoler sans brutalité ni violence ce que la décence cachait derrière du tissu.
Le sang bouillonnait dans ses veines, Liam avait l'impression d'entendre son coeur battre furieusement dans sa poitrine, dans ses tempes. Il sombrait dans un tourbillon de sensations et de sentiments mêlés. Aimait-il ce Poufsouffle? L'aimait-il vraiment? Il mordillait les lèvres de Joachim du bout des dents tout en se faisant de plus en plus audacieux là, en bas, siège de toutes les envies, réceptacle du plaisir luxurieux qu'il infligeait à l'innocent Poufsouffle. Morsure et baiser. Tendresse et violence. Tout se mélangeait, se mêlait et donnait un cocktail explosif. Il voulait se faire miel et fiel, dominer et être dominé. Des pensées contradictoires s'affrontaient...mords-moi, embrasses-moi. Frappes-moi, caresses-moi. Soumets-moi, aimes-moi. Peu m'importe, mais réduis-moi en cendres.
Sujet: Re: Man in the mirror [PV Liam] Sam 6 Mar - 21:21
Il fut un temps ou l'enfant avait pensé qu'il était tombé dans les pattes d'un bourreau. La frêle jonquille s'était largement trompée, il était tombé entre les mains d'un alchimiste, un ensorceleur doué au possible, dont le pouvoir résidait dans de grandes mains calleuses, habituées au sport. Ou en était Jo? Complètement amorphe sous ses mains, perdu dans une volupté toute nouvelle qui ne demandait qu'à s'épanouir sous une bouche avide de sensation se promenant tout le long de son cou. Se reprendre, c'est une blague? Il n'en avait pas envie, se faire surprendre, pourquoi pas, là était tout le piment du moment, un moment volé aux autres et sous leurs yeux qui ne voient rien si ce n'est ce qu'on veut bien leur dévoiler. Il voyait déjà bien les cris d'horreurs des jeunes serpentardes hurlant au scandale et essayant de récupérer leur prince ombrageux des petites mains crochues de ce sale jaune contaminé. Un sourire fleurit sur les lèvres du poufsouffle, oui vraiment, on pouvait dire qu'aucune n'aurait un moment aussi privilégié avec le gardien des verts, gniark gniark. L'enfant se serrait étroitement contre sa vipère, les mains triturant la chemise du vert qui ne ressemblerait plus à rien une fois que jojo serait passé. Quelle idée aussi de la rentrer dans ce fichu pantalon,aaaah réussi, plus de barrière, l'enfant glissa ses mains sur la peau nue, posant sa tête contre le creux de l'épaule, redessinant des doigts les muscles du dos, effleurant les lignes qu'il sentait, reliques d'un passé peu glorieux, il n'en demanderait pas plus, il supposait quelques cicatrices pas très jolies, mais il n'en avait cure, il aimait ce dos musclé,formé par le quidditch,passant un doigt tout le long de la colonne vertébrale, il pensait qu'un peu de hardiesse serait la bienvenue, mais la pudeur qu'il avait encore l'empêchait d'aller plus loin.
Pas un mot, pas une parole, quelques soupirs et retenus, une bulle étrange entourant deux êtres que tout sépare. Il était étrange que ce soit ces mains qui l'avaient si souvent torturées qui lui procurent douceur et passion, étrange qu'il puisse accepter de se faire embrasser et câliner par la seule personne qu'il exècre. Il fallait avouer que tomber dans le piège passion de Liam Oliver était sans issue, on aimait, on désirait on voulait mais jamais on ne s'arrêtait. Doué le sale sournois vous consumait de l'intérieur, allumant en vous un être inconnu semblant prêt à tout accepter de lui. Il avait voulu régler ses comptes avec le vert, lui lançant des ignominies à la tête et pourtant il était revenu sur ses pas, comme un frêle papillon de nuit attiré par la lumière il n'avait pu s'en détourner complètement, accro oui il l'était au point de le laisser encore aimer son corps sans aimer son âme, d'accepter une situation cachée. Mais mais, c'est qu'il allait vite en besogne le vert pendant que notre jaune réfléchissait, un torse dénudé, des doigts agiles défaisant les boutons à la vitesse de l'éclair, un frôlement, peau contre peau, lèvres chaudes et douces,torturant lentement un pauvre petit poufsouffle ne pouvant rien faire d'autres que de soupirer de bien être et de se laisser faire, merlin il lui faisait perdre complètement le contrôle, des mains baladeuses ouvrant un pantalon si bien attaché jusqu'alors. L'enfant rejeta la tête en arrière, le rouge aux joues, la respiration un peu plus courte, incapable d'ouvrir les yeux, gêné d'être si réceptif aux attentions du vert. Savait-il qu'au fond, il n'y avait que ses effleurements à lui qui faisaient réagir le jaune, qu'aucun autre ne posait jamais la main sur lui sous peine de se prendre un sortilège en pleine poire? Probablement oui, il surveillait bien ses petites victimes le vert. Il ouvrit les yeux regardant son semi- bourreau, un sourire sadique ornait ses lèvres, le genre de sourire qu'il lui offrait avant un coup, le cœur du petit blond manqua un battement, s'apprêtait-il à lui jouer un mauvais tour encore une fois?Allait-il regretter sa franchise, les mots qu'il lui avait lancé tout à l'heure? Une caresse sur son ventre, un frisson de bien être et d'appréhension, le doute zébrait les prunelles claires, ce vert était une énigme parfois, pourquoi s'était-il arrêté,une torture, une vengeance, oui surement, il savait y faire et s'il le mordait? Oui c'est ça il allait voir ce vert qu'on ne fait pas languir un simmons il allait le mordre et mrpffffmffrrr quoin? Un baiser et merlin quel baiser,il ferma les yeux cette bouche avide caressant la sienne l'emmenant pour un aller simple chez tonton lulu mais par morgane si l'enfer ressemblait à la caresse que les doigts du sexy serpy lui faisaient subir, il voulait bien se damner pour l'éternité. Un mélange de douceur, de sensualité, de violence contenue, voila ce qu'était Liam Oliver ce soir, et ce Liam embrasait les sens de Jo qui ne voulait pas rester sur le carreau. Hors de question de se faire dépasser par un vert non de arf, comment réfléchir quand une mimine vous caresse de cette façon? L'enfant remonta les mains le long du dos, frola les côtes du gardien s'attardant sur les hanches. Difficile de se concentrer avec lui,raaahhhh
Un baiser doux, le ramena à la réalité, pourquoi penser quand on peut simplement se laisser aller ?Parce qu'il est Jo, parce qu'il aime penser, parce qu'il veut garder un peu de contrôle sur lui, offrir un peu au sournois caressant sans se laisser complètement cajoler, il fallait la jouer inattendue, ne pas copier ses gestes à lui, avoir les siens, et bien qu'à cela ne tienne, l'enfant apprendrait tout seul. Les doigts fins du petit blond frôlèrent à nouveau les hanches, longeant les cotés du serpentard, effleurant lentement les pectoraux bien dessinés, s'attardant un instant sur deux points de chair,ma foi fort intéressant du point de vue du petit blond qui s'arracha une minute d'un baiser pour déposer ses lèvres sur les carré de peau offert à sa vue. Défaire la boutonnière lui semblait plus aisé que de garder son calme, déposant un baiser sur chaque endroit qu'il rendait accessible. Les mains de l'enfant, descendait lentement les boutons, frôlant les abdominaux y remontant taquin, dessinant chaque muscle plus longuement que nécessaire, il ne serait pas dit qu'il ne pourrait pas connaitre son vert un petit peu. Le dernier bouton céda sous les mimines du petit jaune,caressant le ventre du vert rendu visible à force de déboutonnage. Taquin encore une fois, il s'attaqua à la ceinture et aux premiers boutons d'un pantalon pas si récalcitrant que ça qui céda presque instantanément à la supplique d'un jaune vil poufsouffle non innocent. Oooh il aurait pu laisser errer ses jolies mains sur un endroit que le vert aurait apprécié, mais ce serait trop facile et trop cliché non, le jaune profita de la largesse due au relâchement des vilains boutons pour aller visiter une zone très intéressante qu'il regardait d'ailleurs très attentivement depuis quelques temps. Un postérieur divinement musclé qui ma foi donnait parfois des rougeurs aux joues de la pâle jonquille. Qui avait dit que mister caleçon à serpent resterait en place aussi? Que nenni, sieur joachim s'en allait à la conquête d'un trésor très peu connu, et ne comptait pas se laisser arrêter par une barrière de tissu encombrante, le tissu fut comme qui dirait tiré vers le bas, laissant la peau à nue, prête pour la conquête d'un chevalier aux cheveux de paille. Quelqu'un croit qu'il a pu résister? Que nenni, ses mains comme aimantées, finirent par aller toucher le divin postérieur et à en profiter pleinement.
Les verts ont parfois une curieuse influence sur les jaunes.....
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